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Commentaire de moderatus

sur Si Macron était réélu uniquement par peur de la guerre ou « grâce » à la guerre : « Attention danger ! »


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moderatus moderatus 10 mars 2022 08:00

@Joséphine
Je suis sidérée devant ce manque d’intelligence et de clairvoyance. Qu’espère donc Madame 2% (la bien nommée Foldingo) ; Pécresse, Marine, Zemmour ou Melenchon ? Ne pensent-ils donc qu’à leur égo ? Il faut délégitimiser cette élection et ne pas participer à cette mascarade . Quant à l’électorat français qui tombe en pamoison devant un Macron qui a fait foirer toutes les négociations diplomatiques avec la Russie, je préfère ne pas dire ce que je pense de ces gens car cela tomberait sous le coup de la loi. 

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Vous avez raison, 
sur le plan national le bilan de macron est lourd, mais sur le plan international, il est encore pire malgré les postures et déclarations médiatiques qui veulent faire croire au succès. 

"Cinq terribles années marquées par un enchaînement de gifles publiques sans précédent.

-Macron a incarné OSS 117 au Niger en 2017, quand il a ironisé sur le président Roch Kaboré « parti réparer la climatisation ».

-Il a voulu jouer au cow-boy avec Donald Trump, qui l’a allègrement humilié devant les caméras en le prenant par la main ;

- Il a, en septembre 2020, « pris acte » de la « trahison collective » de la classe politique libanaise, qui n’en avait pas grand-chose à f... de ses initiatives.

-Tout dernièrement, Macron a cru reprendre la main en annonçant le redéploiement de Barkhane et son départ du Mali. Réponse de Bamako (traduit du langage diplomatique)  : « OK, et que ça saute.

-En Australie, tenez, par exemple, Macron pouvait surfer sur le contrat du siècle, décroché en 2016 : douze sous-marins de classe Barracuda. Huit milliards à la clé pour la partie française. Et là, patatras ! Les Australiens ont tout annulé en septembre 2021, sous l’amicale pression de leurs amis américains.

-l’affaire ukrainienne. Emmanuel Macron s’est démené, dit-on sur les chaînes françaises. Pas sûr qu’on en ait grand-chose à faire à Pékin, Moscou ou Washington.

Qu’a-t-il fait de concret ? rien, comme d’habitude, ou du moins pas grand-chose."



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