Les experts militaires et stratégiques observent les erreurs commises par les Russes en remplissant leurs ordinateurs de notes.
L’une de leurs conclusions est que le temps des tanks est révolu. Cela va immédiatement impacter les orientations des armées et les priorités des fabricants d’armement. Ainsi, par peur des Russes, les Finnois sont en train de préparer une liste en vue d’un achat massif d’armes en Israël.
Face aux missiles personnels, ses chars, sur lesquels comptait l’état-major russe, ne constituent plus un atout qui écrase tout sur son passage, mais un talon d’Achille qui s’enflamme facilement. Un poids – c’est le cas de le dire – plutôt qu’un atout.
Et son aviation n’a pas et n’aura pas la maîtrise du ciel. Tous les aviateurs du dictateur du Kremlin s’envolent avec une boule dans l’estomac, par crainte d’être abattus par un missile.
Depuis que le Tsarévitch a pris l’initiative d’envahir l’Ukraine, le 24 février dernier, il n’est parvenu à occuper que 15 % du pays, et encore, en comptant la Crimée. Même dans ces 15 %, il ne maîtrise pas vraiment la situation, on ne peut pas parler d’une occupation homogène. Encore moins d’un début de normalisation.
En Ukraine, nous avons atteint le point de rupture du corps expéditionnaire russe, qui a deux générations de guerres de retard. Si rien n’est fait, les contre-offensives des jaune et bleu vont se multiplier, et la campagne d’Ukraine du Tsarévitch va se transformer d’échec en débâcle.