@Gégène
Georges I Abdallah
35 ans d’emprisonnement record de France.
Il vaut mieux massacrer 200 péquins à Paris ou à Nice qu’un diplomate israélien du Maussade
Georges Abdallah est, selon le droit français, libérable depuis 1999. À l’exception de l’Italie, une incarcération d’une telle longueur est exceptionnelle dans les pays de l’Union européenne. Entre 2004 et 2020, neuf des demandes de libération conditionnelle ont été refusées par la justice française.
En mars 2002, sa demande de libération est rejetée. En septembre 2002, il est incarcéré à la prison de Fresnes. En novembre 2003, la juridiction de la libération conditionnelle de Pau a ordonné sa remise en liberté à condition qu’il quitte définitivement le territoire pour le 15 décembre. Dominique Perben, alors ministre de la Justice, fait appel de la décision, si bien que le 15 janvier 2004, Georges Ibrahim Abdallah voit sa demande de libération rejetée.
En janvier 2012, Georges Abdallah dépose une huitième demande de libération. En février 2012, le Premier ministre libanais Najib Mikati, en visite à Paris, demande aux autorités française la libération de ce compatriote qu’il qualifie de « prisonnier politique ». Le 21 novembre 2012, le tribunal d’application des peines compétent en matière de terrorisme, réuni à Lannemezan le 23 octobre 2012, prononçait un avis favorable à la demande de libération de Georges Abdallah. Le 10 janvier 2013, la chambre d’application des peines de Paris, qui examinait l’affaire en appel, accède à sa huitième demande de libération, en la conditionnant à un arrêté d’expulsion du territoire français. Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères, reçoit à l’époque un coup de téléphone de son homologue américaine Hillary Clinton, qui lui demande de ne pas rendre la liberté à Georges Ibrahim Abdallah. Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur, refuse de signer l’arrêté d’expulsion le 14 janvier 2013.
La décision de libération est annulée en avril 2013 par la Cour de cassation, car Georges Ibrahim Abdallah « ne pouvait se voir accorder une libération conditionnelle sans avoir été obligatoirement préalablement soumis, à titre probatoire, à une mesure de semi-liberté ou de placement sous surveillance électronique pendant une période d’un an au moins. »
Jacques Vergès, en produisant des documents du département d’État, dénonce :
« C’est le gouvernement des États-Unis qui oppose un veto intolérable à sa libération. »
29/03 10:59 - eddofr
@tonimarus45 L’Arabie Saoudite exige et à toujours exigé le paiement de son pétrole en (...)
28/03 10:27 - I.A.
28/03 10:04 - xana
@I.A. Je ne parle pas pour vous évidemment. Les imbéciles sont heureux, ils disent comme la (...)
28/03 10:02 - xana
@I.A. Oui, c’est vrai : Le monde s’est simplifié. Grâce en particulier à la (...)
27/03 18:55 - I.A.
Les journalistes n’informent plus, ils aboient, et mordent les ennemis qu’on leur (...)
27/03 10:04 - zygzornifle
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