« Cette pandémie est survenue de manière soudaine, brutale et a impacté toutes nos vies quotidiennes, nos libertés, notre travail, notre consommation, nos loisirs et surtout, notre santé. »
Ce n’est pas la pandémie qui a impacté toutes nos vies quotidiennes, mais les délirantes mesures décrétées pour ne promouvoir que les seules solutions mondialisées garantissant la rentabilité et un phénoménal retour (actionnarial) sur les investissements (publics) jamais réalisés par Big Pharma et ses puissants actionnaires.
« Il est donc difficile d’en faire un bilan précis, d’autant plus que le Président Emmanuel Macron a eu la maladresse, dès le départ, de dire que nous étions en »guerre« sans se douter que deux ans plus tard, une véritable guerre allait surgir au cœur de l’Europe. »
Les chiffres en seraient hélas bien trop cruels et il est moins « difficile » que particulièrement « délicat » de tirer les conclusions et faire le bilan de l’inanité des mesures liberticides dictées par le cabinet McKinsey et adoptées pour la très foireuse gestion de la contrainte citoyenne à se soumettre à l’expérimentation d’une thérapie génique qui s’avère - au mieux - inefficace à endiguer le virus et ses mutations.
Et il n’y avait pas plus de « maladresse » dans la décision de notre très immature et narcissique petit Monarc de se déclarer en guerre que d’évidence à l’« ennemi » qu’il avait fort soigneusement omis de définir ! C’était pour lui l’opportunité via le très confidentiel « Conseil de Défense » couvert par le secret du même nom d’imposer ses caprices et exercer hors tout contrôle démocratique de l’Assemblée Nationale ses fantasmes narcissiques de toute-puissance.