Me
Virginie de Araujo-Recchia communique suite à sa mise en garde à
vue par la DGSI
.
Au sujet de la gestion criminelle de la dite crise « sanitaire » (en réalité crise politique criminelle) du Covid-19 qui émane de la responsabilité du gouvernement Macron Maître Virginie DE ARAUJO-RECCHIA a déposé une plainte contre X le 4 novembre 2021 auprès du Tribunal judiciaire de Paris pour
- D’ABUS FRAUDULEUX DE L’ÉTAT D’IGNORANCE ET DE LA SITUATION DE FAIBLESSE (ARTICLE 223-15-2 DU CODE PÉNAL)
- DE COMPLICITÉ D’EXTORSION ET DE TENTATIVE D’EXTORSION (ARTICLES 312-1 ET 312-9 DU CODE PÉNAL)
- DE COMPLICITÉ D’EMPOISONNEMENTET DE TENTATIVE D’EMPOISONNEMENT (ARTICLE 221-5 DU CODE PÉNAL)
Voici d’extraits de la plainte (— Début de citation —) :
LES FAITS LITIGIEUX
Depuis vingt mois, nous faisons face à une crise mondiale et les citoyens français sont soumis à un flux d’informations continu.
Durant cette période, les informations concernant les faits médicaux
et scientifiques sont-elles présentées de manière loyale, transparente
aux citoyens français ?
L’information est-elle conforme aux règles déontologiques applicables
aux médias et l’information fournie correspond-elle aux attentes de
l’opinion publique et aux droits des citoyens ?
En cette période de crise dite « sanitaire », le gouvernement a fait
usage de mesures sans précédent pour inciter les citoyens français à se
faire « vacciner ». Certains considèrent ces mesures comme coercitives.
Or, plutôt que de jouer le rôle de IVème Pouvoir en questionnant les
mesures, les médias grand public se sont alignés sur les informations
communiquées par le gouvernement.
Parmi les conséquences de cet alignement, nous constatons par exemple
que 25 millions de citoyens français ont été incités à se faire
injecter un médicament biologique en essai clinique (conformément à sa
qualification en droit de l’U.E.) entre le 12 juillet et le 30 septembre
2021.
Cette forte incitation a reposé sur une information parcellaire,
partiale, biaisée et déloyale. De plus l’absence de contradictoire ou le
rôle de censeur joué par certains médias et GAFAM pose désormais la
question de collusion, de concentration.
Certains intervenants présentant des conflits d’intérêts ont été
choisis par les directeurs de publication, les directeurs de programme
des médias grand public afin de répandre la peur et diffuser des
informations fausses en matière de santé publique, sans qu’aucun expert
contradicteur n’ait été invité afin de respecter le principe du
contradictoire. Il est d’ailleurs aisé de constater que les intervenants
choisis pour apparaître sur les plateaux ou être interviewés sont les
mêmes depuis le début de la crise.
Il ne s’agit que d’intervenants soutenant la politique du
gouvernement, les experts reconnus mondialement étant définitivement
censurés.
Seuls les médias alternatifs sans lien d’intérêt ont su fournir des
informations loyales, non biaisées en veillant à l’application du
principe du contradictoire. Ces médias alternatifs ont été étiquetés par
les médias grand public et GAFAM de « complotistes » et censurés pour
avoir exercé leur devoir d’information en proposant un point de vue
critique et étayé sur les décisions du gouvernement et des médias grand
public en matière d’information et de santé, en faisant appel à des
experts indépendants.
Actuellement, les médias grand public relaient sans relâche les informations suivantes
notamment :
– L’absence de traitement précoce avec un consensus scientifique,
– La toxicité de certains traitements précoces,
– L’efficacité des « vaccins » serait de 95%,
– Les injections de thérapie génique seraient des « vaccins » au sens pasteurien du terme,
– Les 85% des personnes hospitalisées seraient des personnes non vaccinées,
– Le « vaccin » protégerait des formes graves,
– Le « vaccin serait la seule solution » afin d’éradiquer le virus.
Or, sur la base des données scientifiques, ces informations sont parfaitement fausses.
Exemples d’éléments de désinformation – Pièce n°1
En matière de santé, les citoyens français doivent pouvoir donner un consentement libre et éclairé avant tout acte médical.
De nombreux citoyens français et professionnels de santé se sont fiés
aux informations délivrées par les médias grand public, ce qui a
entraîné une asymétrie d’information causant un biais du consentement et
une ignorance de la situation réelle.
En matière de santé publique, la représentation nationale aurait dû
pouvoir accéder à des informations loyales, transparentes,
contradictoires, étayées par des faits et des analyses scientifiques, ce
qui n’a pas été le cas. Des mesures qualifiées par certains de
« liberticides » ont été prises tout au long de la crise, sans que le
débat n’ait pu avoir lieu au Parlement sur la base des données
scientifiques réelles.
Les médias doivent pourtant s’efforcer de fonder leurs publications
sur des analyses scientifiques et sur le principe du contradictoire dans
le respect des canons de la Science.
Par conséquent, les médias grand public, dont le devoir et le rôle
est de fournir aux citoyens français des informations loyales,
transparentes et vérifiées, ont engagé leur responsabilité.
Les GAFAM ont engagé leur responsabilité en censurant des
informations, ce qui a potentiellement entraîné une perte de chance
d’être soigné pour des citoyens, des informations qui auraient pu sauver
des vies humaines.
Enfin les liens de collusion et la concentration entre les différents protagonistes semblent avoir mené à la crise actuelle.
— Fin de citation —