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Commentaire de PascalDemoriane

sur Les élections présidentielles 2022 ou La Chute des hypocrites


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PascalDemoriane 13 avril 2022 10:54

@L’auteur
Ce qui me semble ne pas marcher dans cet exposé, c’est que vous cerner une contradiction criante, par exemple du Roussel communiste qui vote Macron et tant qu’anti-Macron et en se cachant derrière l’épouvantail Le Pen, contradiction réitérée d’une fausse opposition que des français rejeterais. C’est le cas général de la gauche castor qui fait cycliquement barrage pour protéger le pouvoir en place qu’elle feint de combattre pour exister.

Vous le cerner pudiquement sans l’expliquer. Sans modéliser le ressort de ce scénario invraisemblable.
Or il est évident que la clef de la cohérence de ces contradictions apparentes, c’est l’argent ! Que l’argent ! Comme motivation et comme finalité : c’est la démocratie libérale de marché où le bulletin de vote est une monnaie locale convertible entre membre d’une minorité élective.
C’est un système de corruption intégral. Et là tout devient limpide.

Métaphorisons le système électoral comme une bourse d’opérations financières, ou plus simple, comme un Casino avec sa banque, sa table de jeu, le faux hasard de la roulette qui représente le faux aléatoire du scrutin de masse.
Que voyons-nous ?
Que le public massé autour de la table de jeu n’a aucune existence collective ! Ni aucune maîtrise collective ni du jeu ! Ni de lui-même. Donc déjà que « les français » dont vous parlez, faites parler, çà n’existe pas ! Çà ne pense ni ne veut rien collectivement ! Çà bavarde comme des dindons sur Avox, c’est tout. Çà mise petit à la sauvette pour juste bavarder (le vote). Ce collectif électoral est une pure abstraction du scénario spectaculaire.

Il y a bien les joueurs (candidats) et leurs martingales (programmes politiques) qui sont là pour simuler des paris collectifs, prédater de l’énergie. Leur seul but individuel c’est de miser peu pour gagner de l’argent, beaucoup d’argent c’est tout : gagner du pouvoir, du sexe, du trafic d’influence, des rentes à vie, c’est à dire de quoi rejouer à chaque tour, re-miser plus, plus large pour gagner plus. C’est le marché !

Le but systémique est donc que beaucoup de dindons perdent un peu pour que peu d’entre eux s’enrichissent beaucoup ! D’où l’astuce à « effet de levier » des martingales partisanes.
Mais qu’est-ce qui uni les joueurs ? La protension du profit, et donc la banque, la banque qu’il faut préserver pour pourvoir rejouer ! La banque, c’est Macron, le patron mafieux du Casino, le garant de la martingale suprême, celle qui gagne à tout les coups, que chacun envie. Et ne veux surtout pas abolir !

Et qu’est-ce que l’extrêmisme  ? De droite c’est déclarer vouloir « faire sauter la banque » par le jeu de la banque pour se l’approprier, de gauche c’est vouloir « faire sauter la banque » par la triche ou de la violence pour abolir le jeu. Evidement çà ne marche pas
On voit que les deux extrêmes effrayant et repoussoirs servent à contenir le public des dindons électeurs comme dans un étau, dans l’idéal du gain, du profit, de la concurrence..
Donc tout idée d’opposition est une illusion, çà n’existe pas ! Faire concurrence à la concurrence c’est toujours sacraliser la banque, sacraliser un Macron ou un Autre Macron !
TINA, en démocratie de marché, il n’y a pas d’alternative ! C’est Macron ou Macron !


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