"Un tout jeune homme envoyé faire la guerre en Ukraine, envoyé à la mort,
par la décision d’un seul chef qui détient tous les pouvoirs : Vladimir
Poutine.«
Triste !
J’entends bien qu’outre le pathos de rigueur, essentiellement destiné à masquer la logique et les enjeux géostratégiques qui ont mené à cette guerre, la propagande occidentale personnalise le pouvoir russe en Vladimir Poutine qu’elle présente comme un tyran sanguinaire, omnipotent et peut-être fou, mais outre le fait qu’il est démocratiquement élu et continue à bénéficier d’un très large soutien populaire, il ne décide pas seul du destin de la Fédération de Russie !
Vous êtes ou avez été enseignante, tout de même ! Si c’est ainsi que l’on forme l’esprit critique de notre belle jeunesse, il y a tout lieu de concevoir quelques craintes pour l’avenir intellectuel de la France. Est ce trop vous demander qu’un tout petit peu vous renseigner sur les structures de pouvoir et de décision (Douma, gouvernement, état-major, ...) russes avant de reproduire et répéter absolument n’importe quelle sottise ! 
»Si nous avions voulu écraser réellement l’Ukraine, nous l’aurions fait.«
Cà tombe sous le sens ! Si, disposant d’une supériorité écrasante en hommes et en matériel, l’armée russe avait voulu »génocider« ou ne se préoccupait du sort des civils d’un peuple qu’elle considère comme frère, elle n’aurait pas mégoté, il ne resterait plus une ville debout et elle aurait avancé bien plus vite !
»Interrogée par un journaliste indépendant russe, une mère dont le fils a
survécu affirme qu’il y aurait une quarantaine de morts."
Ben oui ! Que des munitions aient explosé ou qu’un missile Neptune ukrainien ait frappé le Moskva (ce qui semble plus douteux !), il est aussi regrettable que normal qu’il y ait des victimes à déplorer. Mais l’équipage comptait 500 hommes, et d’après les rares clichés et la vidéo que les spécialistes n’ont pas manqué d’examiner, les canots de sauvetage ne sont plus sur le bateau et l’équipage en a donc bien été évacué.
Where have all the flowers gone ? — Pete Segers
Where have all the flowers gone ? — version Marlene Dietrich
Paroles et traduction
Bien à vous, en vous présentant mes respectueuses salutations ! 