@chantecler

Personne,
Soit ceux qui ont de la valeur on les écarte .
On met en piste une multitude de gens qui ne sont pas faits pour le pouvoir .
Ils n’ont pas les capacités , les qualités humaines pour représenter une population , n’ont pas un passé suffisamment recommandable, etc...
Ils satisfont leurs égos , profitent des élections pour se faire mousser , pour vendre un bouquin ....

Cette quantité de candidats se tire dans les pattes les uns les autres , et le petit génie du système qui est aussi le chouchou des médias bénéficie de toute la logistique pour faire son numéro et n’a donc aucune difficulté à tenir le devant de la scène , m^me s’il déplait à une majorité d’électeurs par rapport à son bilan et sa personne .

Il bénéficie aussi de pouvoirs exceptionnels , de beaucoup de moyens et d’argent pour payer des lobbystes , faire sa publicité et sait habilement jouer des événements dramatiques qui touchent bien à propos le pays : pandémie , guerre , chômage de masse , angoisses collectives , etc etc ...

Au nom de l’état d’urgence, et grâce aux interdictions et à la répression , il empêche les gens de se rencontrer , de manifester , de discuter , et la télévision emplit tout l’espace pour bourrer leur crâne .

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je suis pratiquement d’accord avec l’ensemble de tes analyse.
tu as raison les ego dominent la vie politique, ils pensent à eux ou au parti, jamais au peuple.

On développe la crainte par tous les moyens avec l’aide des merdias
crainte de la pandémie , de la guerre, 
cette crainte permet de soumettre le peuple au pouvoir.
Quand à la démocratie comme ti u dis , elle est bidon. c’est une oligarchie.

Et quand tu vois les pré visions des économistes , on n’est qu’au débi ut d’un f grand merdier

Inflation, hausse des prix, hausse des d taux d’intérêt, pour les emprunts c’est terrible., 

Une économie déjà chancelante depuis 5 ans et qui va s’aggraver

Inflation, hausse des prix, hausse des taux d’intérêt , endettement démentiel, pouvoir d’achat en berne taux de chômage élevé 

La crise ukrainienne commence à avoir des effets visibles sur la balance commerciale française.

Sur le seul mois de mars, le déficit s’est aggravé à 12,4 milliards d’euros contre 10,4 milliards un mois plus tôt, selon les chiffres publiés ce lundi par les Douanes. Au premier trimestre 2022, le trou du commerce extérieur atteint ainsi 31 milliards d’euros, quand il s’élevait à 16,2 milliards à la même époque de l’an dernier.

Et il culmine désormais à 100 milliards d’euros sur douze mois glissants. Un niveau record