@eau-mission
Je connais un peu le monde de la psychiatrie, pour l’avoir observé du bon coté de la blouse. Ce n’est pas une science exacte, mais humaine. Je ne me hasarderais pas à parler d’un cas que je connais pas.
Le monde de la folie des hopitaux obeit à des observations ciiniques. Son but est de soulager la douleur et de la comprendre, en mettant des mots sur ce qui peut paraitre absurde ou mortifère.
Celui de la monstruosité du massacre qui se passe actuellement en Ukraine n’est pas lié à la maladie mentale, mais à pluisieurs déterminants que bien des observateurs ont analysé bien mieux que je ne pourrais le faire.
La personnalité du psychopathe a la tête de ce pays, et qui s’est isolé dans sa paranoïa a été le catalysateur qui a provoqué l’incendie. Nul doute que celui ci va provoquer des répercutions en nombre sur la santé mentale des ukrainiens, les vicitmes, mais ausis de leurs bourreaux, les Russes.
Ceux ci risquent d’avoir même des problèmes bien plus importants du fait de leur responsabilité. Ceux qui ont été confronté à ces traumats savent que leurs répercutions agissent sur le temps long, et sont indicibiles.
Aucun problème logiquement n’aurait du aboutir à cette issue. Seuls les USA avaient pronostiqué l’eminence d’une invasion que même Zelensky refusait d’admettre, pour des raisons rationnelles, celles qui gouvernent normalement la vie des états, et permettent de faire des pronostics de fiabilité.
Ne parlons pas des autres pays qui eux aussi avaient la tête dans le sable. Depuis que Fukiyama a pronostiqué la fin de l’histoire il y a vingt ans, beaucoup ont voulu croire à la fiin de l’irrationnalité barbare. A la vue de la catastrophe environnementale, le retour du passé est en effet une sorte de suicide collectif catalysant la castastrophe.
Mes réponses que vous qualifiez de non — réponses vous ennuient sans doute, car je vous renvoie vos non sens. La négation du réel d’une boucherie est tout ce que les supporters de Poutine trouvent, tout en étant incapables de nier la réalité du génocide en grand, des transferts massifs de population vers l’ouest, et plus préocupant vers l’est...Quand l’innondation submerge tout, on ne peut en effet nier qu’on a les pieds mouillés.
« On peut nier l’existence de la mouche, mais c’est plus dificile de nier l’éléphant ! » Comme dit Sun Tzu...« En conséquence, tenez vous en à la mouche, pour mettre mal à l’aise votre interlocuteur.... »
C’est ce que vous tentez désespéremént de faire, en barrant les chemins balisés et informés des massacres en grand, des villes transformées de visu en champs de ruine, comme un négatif de la forfaiture.