Fin des années 60, début des années 70 : la France est dans les 5 pays les plus riches du monde. Pratiquement, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que mon père, ouvrier, pouvait faire vivre une famille de 7, très chichement certes, sur son salaire. Très chichement mais ça passait.

2022 : un ouvrier ne peut plus faire ça. Ni de près, ni de loin. Appauvrissement généralisé du prolétariat et aussi de la petite et moyenne bourgeoisie. Pour ces derniers, la perspective du déclassement n’est plus inenvisageable. Tous le monde a les jetons. La France, aujourd’hui, suivant les divers classements, se retrouve entre la 20ème place ( au mieux... ) et la 30ème.

Qu’est-ce qu’a bien pu se passer, bordel de merde ? Qu’est-ce qu’a bien pu se passer entre les années 70 et aujourd’hui ?

Un indice : des millions de très très très très pauvres sont venus. Au nom du Bien. Au nom de « l’antiracisme » ( rien à voir ). Au nom des droits de l’homme. De l’homme africain, s’entend. Parce que dans l’autre sens, c’est interdit. Ils sont plus très très très très pauvres. Bah ouais : on a été obligés de leur donner une part du gâteau... Ah, la même qu’à tout le monde, hein... Dis-donc ! Les droits de l’homme ! Les droits de l’homme, c’est au dessus de tout, je te ferai dire ! Mais on a fait un plus gros gâteau, non ? Non. Avec des pauvres ( des gens pas formés ), tu peux pas faire un plus gros gâteau : ils n’ont apporté et n’apportent aucune valeur ajoutée. Essentiellement, Ils prennent. Ils viennent d’ailleurs sans formation et... Ils prennent. Au nom des droits de l’homme.

Alors ? Alors même gâteau et plus de gens qui doivent manger dessus... Essayez chez vous, amis représentants du Bien sur terre. Vous prenez un gâteau pour quatre et vous faites 6 parts, qu’est-ce qui se passe ? Les parts sont plus petites ! Très bien ! T’as compris ! Les Français se sont appauvris.

Mais c’est au nom du Bien. Au nom de l’antiracisme. Au nom des droits de l’homme. Merci le Bien ! Merci l’antiracisme ! Merci les droits de l’homme ! Et j’ajouterai, personnellement : merci les cons ! Suivez mon regard...

Conclusion : si quelqu’un se plaint de la pauvreté, d’une part, et déclare être pour l’immigration africaine ( ou roumaine, hein... ) d’autre part, c’est soit un con, soit un escroc. Hein ? Mélenchon ? Ha ha ha... Putain d’escroc !