Ah,
le reflexe conditionné, c’est dingue : on pose ici le mot
euthanasie, et hop !
automatiquement on voit fleurir les commentaires
moutonniers, des « je
suis pour, je suis contre »,
des « selon moi, je
pense que » et les
« à
chacun de décider ».
donc du « moi,je
qui veux choisir sans qu’on lui impose ».
Du
pur schéma algorithmique Stimuli / Réaction primaire !
Aucun intérêt au regard
de l’article ! Personne ne vous, nous, me demande notre avis, parce
que votre avis est déjà implanté dans notre, votre « Moi,je » !
Le marché est déjà formaté et vous êtes déjà dans le format
d’une néo-anthropologie artificielle mercantile désirable.
Du
moins c’est ainsi que probablement le système politico-mafieu pilote son projet
d’exploitation :
vous serez euthanasiable pour qu’on puisse vous
le vendre si vous êtes solvables,
ou bien parce que vous n’êtes
justement plus rentable ni solvable, on le fera payer par d’autres futurs euthanasiables via de la dette. Vu ?
Il s’agit donc d’organiser
la légalité formelle de la privatisation confiscatoire de votre
mort (comme de vos loisirs ou de votre santé, pardon, maladie) dans
le cadre de la grande marchandisation de l’humain. Comme d’habitude
en privatisant les bénéfices et en mutualisant les coûts dans le public par le
fisc.
Donc de vous programmer consentant voire même militant pour
affirmer « l’euthanasie, c’est bien, c’est un progrès,
j’achète, je cotise », le « droit de choisir de mourir
est une libération, la victoire d’un grand combat ». etc.
Je
précise j’ai pas d’opinion : Moi, cynique, si j’avais des capitaux à placer
et un réseau relationnel mafieu dans l’ingénierie sociétale et
sanitaire mi-publique mi-privée, chez McQuiNeSais, j’irai dans ce
business juteux dont finalement les promoteurs de terrain sont les
euthanasiables eux-mêmes !. L’euthanasie de masse n’est que la
continuation marketing captive de la pseudo-vaccination covid de masse, c’est de la
consolidation de marché tentante, non ? Restera à la rendre
discrètement obligatoire... comme le pseudo-vaccin. Et çà on sais faire.