Niveau « inCONgruités » nous atteignons la plus haute marche du podium.

Imaginez, que les « personnels hospitaliers » ont été réintégrés dans les services hospitaliers outre mer ! Ben oui, la presse-bite-scie Macronide, n’as pas court au delà de Quimper !

Imaginez, que les personnels hospitaliers, en Fronce Métro dodo poli-teigne, sont virés, ou préfèrent quitter leur emploi « stable » contre « l’intérim » ou ils sont mieux payés, avec des horaires plus arrangeants.

Question : Combien coute un intérimaire à employer dans un service ?

Alors que nous n’avons sois disant pas les moyens de payer plus le personnel en place ?

( calcul très simple, j’en vire 3, et j’en emploie 1, et j’y gagne encore, pour le reste des postes manquants, c’est à la populace de s’en accommoder, non mais ! )

Quid des vigiles, payés un pognon de diiiiiiiiingue, loués à des sociétés de surveillance, juste pour vérifier les pass nazitaires ?

Et expérience vécue, où le Samu, interdit à une personne emmenée aux urgences, de prendre son portable et ses effets personnels, pour crainte de «  vols  » ?

(Ah, c’est vrai qu’ils ne quittent pas le perron de l’hôpital, ; faut pas pousser, dans les options tarifaires ! Les pick pockets ça passe, mais les non waxx...)

Bref, les seuls sbires, qui continuent à s’engraisser, sont de la gente politichienne, aboyant comme des Boules DOG (Un peu le même système que les boules de Geisha, qui procurent du plaisir LarE-Marchant ) et qui leur donne cet air si satisfait de leur collier à clou, tant qu’ils arrivent encore à se gratter leurs parties CONgénitales. ( et si ils sont trop alourdis par les affaires de touche pipi, ils demandent recours à leurs collègues....Pour les initier au cancrelat participatif )

Le mot d’ordre du peuple, pour ces cabots, devrait être « A LA NICHE  », malheureusement, ces Mets D’Or, pouilleux, chassent en bande, et lèchent tout ce qui peut leur donner un nonos à ronger, qu’ils s’empresseront de nous foutre dans les dents, comme seule anesthésie, à la douleur de leurs morsures, sur nos vies.