@eau-mission
Les décisions urgentes pour stocker l’eau douce doivent être prises et mises en œuvre localement – au niveau communal pour la partie publique mais également par des propriétaires privés comme les y autorise largement la nouvelle loi sur l’eau – et avec les moyens publics et privés locaux pour chaque bassin versant. L’orgueil démesuré des pouvoir centraux et leur déconnexion des réalités de terrain ne débouchent – quand elles débouchent – que sur un gigantisme hors de prix, et désormais, face à l’urgence, hors délais...
Il me semble donc nécessaire et urgent de sensibiliser les maires autant que les propriétaires privés.
Concernant F. Gervais et tous les spécialistes en la matière qui se contredisent les uns les autres sur la primauté ou pas du CO2 dans le dérèglement climatique, si l’on doit attendre qu’ils se mettent d’accord pour prendre ce type de décision, le drame qui s’annonce aura lieu.
Retenir l’eau douce sur les terres émergées doit avant tout être considéré comme une guerre contre la sécheresse et non-pas contre le dérèglement climatique, même si l’on peut raisonnablement penser que, selon les lieux où cette action est mise en œuvre, elle permettrait de dynamiser les cycles locaux de l’eau en maximisant l’évapotranspiration sur les bassins versants.
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