A propos de climat et de météorologie ...
Quand on m’annonce des pluie torrentielles ...
Je n’achète pas un ventilateur pour repousser les nuages.
J’achète un parapluie et un Kway, je cure mon réservoir d’eau et mon drainage et je sors mon 4x4 plutôt que mon cabriolet.
N’étant ni scientifique, ni statisticien, je ne saurais dire si, à l’échelle géologique, il y a ou pas un changement climatique « exceptionnel » ou « anthropomachin ».
Par contre, à mon échelle humaine, sur le temps d’une vie, ma vie pour être plus précis, je constate bien une évolution du climat vers plus de « brutalité ».
Etant ingénieur spécialisé dans le risque informatique, j’ai pour habitude de prévenir les risques et protéger les systèmes des dégât potentiels, AVANT qu’ils ne soient avérés. Quand il n’est plus question de risque, mais de phénomènes avérés, je gère les conséquences et je maintiens ou rétablis le service, autant que faire se peut.
Dans mon métier, on traite le risque en fonction de plusieurs critères :
— la probabilité que le risque ce réalise versus les dégâts potentiels, de la réalisation de ce risque,
— le coût et l’efficacité des mesures visant à prévenir le risque (l’empêcher de se réaliser) versus le coût et l’efficacité des mesures visant à corriger les conséquences du risque (empêcher, limiter ou réparer les dégâts).
— le coût « gaspillé » des mesures, si le risque ne se réalise pas.
Je n’ai pas l’impression, ou alors je n’ai pas eu accès aux conclusions (confidentielles sans doute), qu’une telle « gestion de risque » ait été menée au niveau mondial.