Pour ce qui concerne la dernière question de l’article, bien qu’elle constitue visiblement un chiffon rouge destiné à diviser les gueux pendant que les 0,1% continuent de piller et de génocider en toute tranquillité, elle mérite malgré tout un peu d’attention.
Soit dit en passant, la constitution, en grande partie fondée sur la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, ne reconnait-elle pas la « sureté » comme un des piliers à défendre ?
Article 2 : "Le but de toute association politique est la
conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces
droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à
l’oppression.
«
Qu’en est-il de la sureté de l’enfant à naître quand un »médecin« avorteur (boucher eut été plus économe en temps de rédaction...) se prépare à l’aspirer ? Ceci n’a rien à faire dans la constitution d’un pays, tout au plus dans une loi, encore soit-elle constitutionnelle,ce que mon argument du début (principe de la »sécurité) infirme complètement .
Les droits et les devoirs devraient s’équilibrer dans un esprit sain...mais ce sont souvent des esprits malsains qui gouvernent.
Art. 16. Toute Société dans laquelle la garantie des
Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a
point de Constitution.
C’est bien le cas en cinquième république, prouvez donc le contraire après le scandale de la « constitutionnalité » du passe vaccinal...