@tashrin
Si vous prenez la peine de lire mes commentaires sur tous les articles traitant de la covidiotie ambiante, vous comprendrez que vous vous trompez de cible dans ce cas précis .
C’est d’ailleurs l’argumentaire déployé face aux fanatiques qui protestent contre la décision de la Cour Suprême aux USA ( pourquoi invoquer le droit de choisir pour son corps dans le cas de l’avortement et pas dans le cas des injections sous contrainte ?), argumentaire qui bien sur est ignoré ou repoussé avec colère...
Notre droit ... Le droit n’est notre que si on se reconnait dans ce qui y est écrit, de même que les lois. Tout ce qui est imposé par coercition, fut-ce des lois ou des articles de droit perd toute justification .
Le corps d’une femme lui appartient, c’est vrai . Ce principe ne s’appliquerait donc pas à un enfant à naître ? Pour votre argumentation sur l’homme qui se voit imposer une paternité non souhaitée, les moyens d’éviter ce souci ne manquent pas, c’est donc une excuse difficilement acceptable (c’est également valable pour la femme,du moins dans nos pays à haut niveau de vie)... en théorie, l’esprit est censé dominer le corps, l’homme qui met une femme enceinte n’a selon toute vraisemblance pas été violé et aurait sans doute pu l’éviter avec un minimum de maîtrise .