@Rakotoarison

Fils et petits-fils, filles et petites-filles de Pieds-noirs nous ne laisserons plus passer un seul mensonge, une seule falsification de l’Histoire. Nous ne tolérerons plus désormais que des dirigeants « criminels » de l’époque soient parés de qualités qu’ils n’ont jamais eu ; manque de pitié, inhumanité, et attirance pour le crime d’Etat. Les Pieds -noirs, composés en majorité de gens du peuple, ont été sacrifiés, martyrisés, spoliés, envoyés à la mort ou en exil, avec la bénédiction des plus hautes instances publiques. Nous ne pardonnerons JAMAIS ! 

Bonjour, merci de cet article qui contrebalance les ressucées que nous entendons depuis des années sur la « guerre d’Algérie ». Depuis un mois maintenant, j’essaie par une série d’articles de recentrer le débat sur l’histoire tragique de l’Algérie et française et algérienne, puisqu’on oublie un peu trop, la « seconde guerre d’Algérie » entre 1992 et 1994, du FIS contr e le peuple algérien. 

Mais, le but que je me suis assigné dans mes articles, c’est de préciser le rôle exact de chacun. 

Au niveau des chiffres, il s’agit de 3000 disparus à Oran, après les accords d’Evian, que n’ont pas respecté le FLN puisque les massacres ont continué de plus belle en présence de l’armée française — et particulièrement ce jour sinistre que vous évoquez dans votre article.

C’était le général Katz qui commandait l’armée française laissant massacrer leurs compatriotes. Nous savons tous que l’armée est aux ordres, comme la police d’ailleurs, les ordres venaient du plus haut niveau de l’Etat, à un échelon si supérieur que cette armée ne pouvait faire autrement que d’obtempérer par la passivité. 

La responsabilité du gouvernement français de l’époque est totale, et du Chef de l’Etat de l’époque — de Gaulle — ne doit pas passer entre les mailles du filet de l’Histoire. Rien ne doit plus passer. 

Bien à vous.