@Séraphin Lampion
L’alimentation vegan doit beaucoup à la chimie.
C’est en fait une immonde saloperie faite de protéines déstructurées obtenues par « cracking » de pois, maïs et autre céréales.
Le tout recomposé à l’aide d’additifs alimentaires :
Les E100 : Colorants, il s’agit de tenter de rendre appétissante la mixture.
Les E200 et E300 : Conservateurs et quelques exhausteurs de goût
, il faut bien tenter de ressembler le plus possible à la viande naturelle.
Les E400 : Agents de texture (émulsifiants, gélifiants,épaississants, stabilisants, antimoussants, humectant) indispensables pour maintenir ensemble les composants.
Les E500 : Acidifiants.
Les E600 : Exhausteur de goût, il faut bien tenter de ressembler le plus possible à la viande naturelle.
Les E900 : édulcorants intenses.
Les E1000 : Enzymes, alors là, c’est le régal de l’agrochimie.
Si les vegans avaient la curiosité de voir la liste précise d’une « nudgets » vegan (c’est un exemple), ils préféreraient sans aucun doute le poulet aux hormones, bien plus sain que leur cochonnerie (moi, je préfère le poulet fermier acheté au producteur à 500 m. de chez moi, en contrepartie je ne bénéficie pas des « joies » citadines ).
Je pense qu’à moyen terme, la maladie mentale dont souffrent les vegans va avoir des répercussions sérieuses sur leur santé physique.