Chaleur, sècheresse, manque d’eau …Pas besoin de baratiner
sur tous les médias et de s’en prendre qui au réchauffement, qui aux agriculteurs,
qui aux possesseurs de piscine. Rappelons d’abord au sujet de l’eau que c’est
le seul élément sur notre terre qui se renouvelle en permanence .Le cycle de
l’eau, certains l’on peut être oublié un peu vite !!! La grande majorité
de l’eau utilisée dans la plupart de nos
activités retourne soit à la mer soit dans les nappes, par le biais de
ruissellement et d’évapotranspiration. L’eau recouvre 70% de la planète, elle
ne manque pas. C’est l’eau dite potable qui pose problème à nos pays. D’après
les météorologues, la situation de sécheresse actuelle sur le sud de l’Europe
résulte avant tout d’une situation météorologique particulière, au niveau des
flux jet Stream ; en attribuer la cause au réchauffement, relève encore de
l’hypothèse. Il se pourrait bien au contraire
que ce soit ce genre d’anomalie qui pilote l’essentiel du réchauffement. Il y a
du grain à moudre dans ce domaine…..
La nature régule toujours ; Il ne pleut pas chez nous
mais, l’atmosphère compense ailleurs (les inondations actuelles au
Pakistan et au Kentucky en sont la preuve tangible).
Des pays sont habitués à ces périodes sèches, Moyen orient,
Israël, Golfe arabique chez nous
l’Espagne, dessalent l’eau de mer depuis plus de 50 ans en fonction de
leurs possibilités financières et technologiques.
Les nouveaux procédés de dessalement par osmoses inverse
alimentés par des panneaux solaires plus que pertinents dans ces zones, permettent
d’alimenter en eau en évitant l’utilisation de puissance au fuel ou au gaz.
Alors qu’il faille limiter les abus dans l’utilisation de
l’eau dans ces périodes, sans aucun doute ; Changer nos habitudes dans la
consommation, dans les pratique agricoles et industrielles c’est évident .Aller comme certains leaders
écolos de salon, jusqu’à critiquer l’utilisation des canadairs contre les
incendies … pas sérieux. C’est un moment délicat à passer il faut gérer, et aussi
s’attendre à une période de compensation pluviale qui risque aussi d’être
conséquente à l’automne.