@Gégène
« Un rocard, sinon rien ! ». Pensait on à l’époque.
Ca nous fait penser à l’hypothèse « vodka », qu’est tout de même dans l’ADN des russes.
La vodka est une arme létale, quoique à petit feu. !
Dans quel état était Poutine le soir où avec son Georing de base, je veux parler de Labrov, ils ont commencé tout deux à s’exiter, à boire de plus en plus, et à parier que les Ukrainiens allaient tomber comme un fruit mûr en une semaine.
Maximum, deux. ?
Si tant d’efforts avaient été portés pour résoudre les problèmes environnementaux du monde, l’image de la Russie n’en serait pas où elle se trouve aujourd’hui. Aux mains d’une clique de psychopathes infatués, envoyant en tôle le premier qui ose dire le mot « guerre ». Dire « Halte à la guerre », c’est le crime d’état, le goulag assuré, ou l’envoi en première ligne, dans un bataillon wagner, pour apprendre la musique au pas de l’oie.
Plus de 20000 morts ou blessés au bas mot. On ne communique pas en Russie. Ce sont des héros, qu’on a poussé en avant vers la boucherie. Je parle là des conscrits Russes, qui n’ont pas réussi à se sauver à temps.
Etre un pyromane donne de grands frissons. C’est ce que j’ai retenu en entendant les témoignages de ces individus soi disant normaux, qui prennent leur pied en allumant le feu aux forêts. Le complex Néron ? Français, Russes, les cons sont partout. Mais si un pyromane a le pouvoir absolu, ne lui laissez pas prendre vos allumettes. C’est l’avantage des démocraties tout de même.
Le jour d’après est moins drôle, pour les pyromanes quand il faut rendre des comptes. Prenez Poutine par exemple !
Sait il que s’il avait fait pompier, il dormirait maintenant mieux la nuit, en pensant aux enfants qu’il a sauvé, plutôt qu’à ceux il a brûlé dans leur maison en feu. Quand aux autres conséquences, laissons le temps faire. « Blowin the wind ! » Comme disait Bob Dylan