@Jonas
Le diable est dans les pensées – le (les) dieu(x) également d’ailleurs – voir à ce sujet, si le coeur vous en dit, mon commentaire ‘’Jean Keim - 14 septembre 17:16’’.
Il est courant d’affirmer que le Christ par son sacrifice a aboli les péchés du monde, il est aussi possible de penser (je pèse ce mot) qu’il a accepté son sort en homme totalement libre qu’il était, il avait la puissance nécessaire pour se dérober, seulement un homme de bien donc sain(t) d’esprit, dans une situation extrême, n’oppose pas sa volonté à celles des autres, cf. l’épisode où il est retourné dans sa région natale et où il fut rejeté par les habitants qui ont tenté de le précipiter dans un ravin, mais il s’est éclipsé aisément, son heure n’était pas encore venue, une issue était possible.
Il a également enseigné et à maintes reprises que le retour auprès du Père, tel l’a vécu Lazare, effaçait les péchés, la conscience lavée retrouve son innocence.
Des chrétiens et pas qu’eux, pensent que la souffrance, le dolorisme, est indispensable, voire obligatoire, pratiquement tous les apôtres ont connu une fin douloureuse, sauf Jean (lequel ?) cela ne lui était pas nécessaire, il a perçu l’essence de l’enseignement.