Correction (mot utilisé avec son double sens...). D’entendre partout : les temps changent, il faut s’adapter. Ce qui me paraît une grosse erreur. L’intérêt pour les enfant ne date que du 18ème (avant avec Montaigne). Rousseau qui abandona ses cinq enfants de donner des conseils « judicieux ». On demande aux parents d’être « suffisament bons ».... Tous les psys de constater que les personnes qui se portent le mieux pstchologiquement, n’ont pas eux des parents « bons » selon les écrits de Dolto, mais qui ont eu une enfance avec des limites et structurée. Pour cela, un, il faut être présent (la crêche est une erreur...) constituer une référence stable même si celle-ci est sévère et peu tolérante (on va dans sa chambre avant le journal télévisé, notre limite à nous, c’était « bonne nuit les petits »). Chacun à sa place (principe de verticalité) : tu n’es encore qu’un enfant et ce qui concerne les adultes ne te regarde pas pas. D’où l’énorme erreur d’initier trop tôt à la sexualité..... cela fait un peu militaire... vu de l’extérieur, mais cela porte un nom : TUTORER. Car c’est parce qu’il a eu des repères stables que l’enfant alors peut devenir adulte et quitter la famille, qui n’est qu’un temps dans la vie.....A 18 ans, on est pas mûr pour fonder une nouvelle famille. Pourquoi, parce qu’il y a une étape nécessaire : celle de pouvoir critiquer ses parents. Hélaas, c’est ainsi que les générations actuelles ont voulu appliquer exactement l’inverse avec leur enfant : le laisser faire jusqu’à ce que les enfants deviennent eux mêmes des tyrans (reproduisant le comportement des grands-parents). Trente ans est un bien meilleur âge. Car alors, le jeunes aura fait l’expérience de la vie réelle qui n’est possible que si on intègre les limites (le respect des lois). C’est alors que le presqu’adulte peut tester que son éducation sévère dans la réalité lui fut utile car elle lui a forgé un caractère qui lui permet de dire : NON..... Mais maintenant, on veut tout, tout de suite. Avec la guerre, c’est le retour du réel..... Et les moins solides risquent le suicide. Les plus solides eux relèveront la tête. Selon le principe, ce qui ne me détruit pas me rend plus fort.... cent fois sur le métier. même si parfois le découragement et le doute peut comme pour tout le monde, nous gagner... Et donc, il ne faut surtout PAS s’adapter aux évolutions sociétales. Elles ne sont pas nécessairement bonnes conseillères...