Merci @ l’auteur pour le partage.
J’abonde pleinement à votre propos, derrière le terme pure novlangue de « russophobie », cela a été l’affichage non moins maladif du racisme le plus éhonté et le plus stupide que je n’ai jamais constaté en Ôxydant.
C’était quasiment un concours à qui pousserait l’expression de cette haine le plus loin possible, de l’interdiction de jouer les œuvres de Tchaïkovski à la participation de chats russes aux concours !
Tant de monstrueuse connerie n’est que symptôme d’un « empire du mensonge » au bord de l’effondrement, dont les jours sont à présent comptés et qu’un certain avait pronostiqué de longue date :
« La vérité, c’est que les Américains
finiront par se faire détester par tout le monde. Même par
leurs alliés les plus inconditionnels. [...] Tous les trucages
qu’imaginent les Américains sont démentis par les événements. »
Conversation entre Charles de Gaulle et Alain Peyrefitte dans le
Salon doré de l’Élysée le 6 novembre 1963.
Charles de Gaulle cité par Alain
Peyrefitte, C’était de Gaulle (1997), éd. Éditions
de Fallois/Fayard, 1997 (ISBN 9782213594583),
t. 2, p. 38.
.
« La suprématie américaine est un énorme
danger mondial. »
Après le Conseil des ministres du 21 octobre 1964.
Charles de Gaulle cité par Alain Peyrefitte, C’était de Gaulle (1997) éd. Éditions de Fallois/Fayard, 1997 (ISBN 9782213594583) t. 2 p. 57
.
Mais méfiance, vu la fuite en avant dans le terrorisme, présentement constatée dudit empire face à ses insupportables responsabilités, je sens venir un énième sale coup, type « fals flag » aux conséquences égalant ou dépassant probablement le 11/09/2001, car « c’est lorsque le monstre se noie qu’il produit les plus grosses vagues ». . .