@alinea
Mon camp est celui de l’indignation, le votre est celui de la corruption. 
Je ne pense pas avoir honte de mes propos un jour, car ils défendent toujours les victimes, qui sont mon point de vue.
On ne se trompe jamais en défendant un peuple envahi, des gamins arrachés à leurs parents, des civils crevant sous les tirs de drones, employés très exactement comme les V2 sur Londres en 44, à seul but de tétaniser. 
Votre point de vue à deux balles est celui du dictateur, infatuée que vous êtes, à tenter de vous prendre pour une égérie, et de murmurer des secrets à l’oreille des ânes, vous croyant informée par les vents mauvais que vous prenez pour le chiffre d’or.  
Votre camp est celui de l’indignité, de la perte de tout repère humain, issu d’un narcissisme fat, gonfflé par les compliments des influenceurs, omnipotents ici.,et qui vous rendent aveugle et désarmée. 
Les vieillards parfois succombent ainsi au pire, jaloux de leur parole, de leur venin, qu’ils distillent contre les vivants. Les compliment les flattent et les ralient aux bonimenteurs ! La mort des autres, des jeunes surtout, les attire. Et il se réjouissent des scènes de crime, tant qu’ils ne sont pas sous les bombes. Cela les emoustille, et réchauffe leur sang froid reptilien.
Votre compromission au pire est si grande dans vos propos, qu’elle est un crime ! Car si on tue par les armes on peut tuer par le verbe, en reprenant l’ineptie du populisme et de la propagande, comme on le vit en europe en 40, et même au Rwanda, à travers la radio des « milles collines ». 
Brazillach fut fusillé pour ça. De Gaulle, à qui l’on avait demandé la grâce de l’écrivain, répondit que le talent ajoutait à la responsabilité d’un homme, en raison de l’influence qu’il avait sr les autres. Par chance, pour vous, vous n’êtes pas concernée par ses conditions. 
 Cependant la bétise n’est pas une grande excuse, car l’empathie est la chose la plus partagée au monde !.
On en revient à l’indignation, qui doit se porter sur les choses les plus concrètes et tangibles, tel le caractère sacré de la vie, et non sur les théories du complot abscontes.. Et il ne suffit pas de sortir votre petit mantra autour « des affreux américains et de l’otan infâme », pour vous en sortir en tenant la main à Poutine, dans cet exercice à deux balles de préservation de sa conscience, ou de ce qu’il en reste.