@alanhorus
Liens très intéressants merci.
Les arguments de l’hypothèse « Diana est toujours en vie, elle a la soixantaine, vit dans un château isolé ou très loin de l’Angleterre, est brune et remariée, son nez a été raccourci, ses serviteurs ignorent son origine ; et elle est d’accord parce qu’elle n’est jamais sortie réellement avec Dodi, agent du système, qui la gardait pour les services secrets » sont convaincants.
Toutefois, je ne pense pas que la reine d’Angleterre ait eu son mot à dire. Bien sûr qu’elle aurait choisi la solution disparition en douce, pas en chair et en os, pour ses petits-fils par exemple. Une sorte de répudiation orientale avec emprisonnement à vie pire que le harem ou un exil éternel.
En Chine ancienne, les épouses infidèles du gynécée, pourtant pas mal bouclées déjà dans leurs appartements et par les petits pieds torturés qui ne peuvent plus courir, étaient punies de mort, administrée en privé.
Le système qui nous opprime est un mix chinois et moyen-oriental, enrobé de sauce européenne. C’est lui qui décide. Garder en vie Diana, c’est risqué, même en prenant toutes les précautions. Ces gens ne prennent pas de risque, ça coûte et ils préfèrent empocher la différence. De plus Ghislaine Maxwell détestait Diana et s’asseyait sur le trône royal pour rigoler à Buckingham Palace ; c’est dire leur arrogance et leur absence de scrupules. Et puis Diana avait son caractère, imprévisible, et soignait ses chagrins en les racontant au public.
Qu’a-t-elle vu autour d’elle qui l’a rendue si dépressive ?
Nous ne savons pas dans quelle mesure les deux fils de Diana ont été affectés. ils subissent dès la petite enfance tout un traitement psychologique pour les adapter à un monde de mensonge ou de prudence. Leur mère n’avait pas bonne presse, pour eux.