Très bonne synthèse, et j’adore la pancarte !
Pour rappel
— En France, l’INSERM n’a jamais fait varier son avis concernant l’efficacité des vaccins à empêcher les contaminations : « sujette à caution ».
— Les éléments rendus publics par Pfizer en décembre 2020 étaient clairs : efficacité et innocuité non testée pour les femmes enceintes et les personnes immunodéprimées / pas d’éléments concernant les transmissions / pas d’éléments concernant les formes graves : l’efficacité de l’injection avait été testée uniquement sur sa capacité à juguler l’expression d’une maladie symptomatique (fièvre, toux, fatigue, gêne respiratoire).
Tous les éléments étayant que les injections pouvaient éviter la transmission ou les formes graves du covid ont été fournis par des études ou statistiques bancales commanditées après que les gouvernements occidentaux eurent lancé des campagnes publiques et massives d’injections anticovid, pour justifier ces dernières.
Ils ne reposaient sur aucune donnée fournie par les labos, non plus que sur aucune base scientifique, non plus que sur aucune donnée observationnelle, mais seulement sur un présupposé d’efficacité reformulé par les seules autorités publiques de santé (action sur les contaminations et les formes graves de la maladie covid) ,qu’il s’est agi de démontrer, à coup de bidouilles et de tarabiscotage de chiffres.