@Hervé Hum
Salut Hervé si je puis me permettre, tu parles de peur du « virus » ( aucun virus n’a jamais été isolé), c’est un effet d’autre chose, derrière c’est la peur de mourir, est ce tout ?
Pas du tout de ce que j’en vois, derrière il y a en fait l’infini et je suis sérieux..
la peur de mourir se manifeste dès que « je » veux que ceci ou cela dure...or que dit le réel : tu vas mourir, c’est un absolu !
Le désir de continuité a enclenché cette peur, peur bien sur = fuite impossible d’un fait.
est ce tout ? Non derrière il y a le désir..
est ce tout ? non derrière il y a le programme de la pensée et la place du désir dans le programme...
vais je analyser cela ? si oui rendez vous dans des milliards d’années, bien sur je serais mort demain ou un autre jours..analyser est dans le temps.
Ah ? oui analyser est le programme, c’est la pensée qui est apte à imaginer des choses dans le futur....ah !!
que reste t’il car le présent est le seul réel ??
je passe plein d’étapes et cet infini absolu va montrer un tas de choses si, quand et comme « il » le veut..l’analyse est hors jeu...si je comprends l’analyse c’est normal, si je ne comprends pas ce que c’est et son rôle ..ça donne notre monde décrépit etc car alors l’analyse va envahir un monde où elle n’a rien à faire..celui qui n’est pas des domaines pratiques...
à cet instant la vie humaines a basculé du « coté obscur »..
il est alors perçu instantanément si « il » le veut que le programme de la pensée est conçu pour voir des faits, quand il utilise son programme imaginaire c’est uniquement pour des choses physiques et pratiques, je fais donc un abris, organise la nourriture enfin etc,
ce n’est pas un programme pour autre chose que ce qui est pratique.
Sans ce programme aucun être dit vivant selon nous, n’existerait...
C’est aussi lui qui est en train de nous détruire d’un tas de manière, même encore vivant physiquement cette non vie est un calvaire..sur une échelle de x à x de souffrance.
Je défini pour moi la souffrance comme l’absence de ce contentement étrange, insaisissable par la pensée, l’analyse, le désir etc
il est la nourriture de « l’esprit »..qui ne peut la chercher..
Souffrance qui est un dialogue entre humains et.....je dirais x.
Je ne cherche pas à définir avec des mots.
Ah !! supposons, et alors ?
Si il n’y a pas d’erreur il n’y a pas de souffrance, la souffrance passe souvent inaperçue quand elle est à son stade minimaliste car on s’est habitué à souffrir, sans la comprendre et donc sans la résoudre..
Ah !
Les expériences montrent que c’est un catalyseur...qui n’est plus là à la fin de « l’expérience »..
Seule la souffrance résout la souffrance..ce qui en exclut toute analyse, tout désir, toute peur etc ad libitum
sur ce chemin ça ne s’arrête pas..certes il y a des pauses, je retombe dans l’erreur mais ayant appris...il en reste ce qui doit rester , que « je » ne choisis surtout pas, et je n’ai pas à tout refaire le même chemin à chaque fois..
etc
mes salutations..
07/11 10:21 - Hervé Hum
@Francis, agnotologue certes, mais vous savez, les faits se moquent bien de nous et plutôt que (...)
07/11 09:21 - Francis, agnotologue
07/11 08:58 - Hervé Hum
@Francis, agnotologue toute communauté quelle que soit son nombre et système implique le (...)
06/11 18:48 - Francis, agnotologue
06/11 18:39 - Eric F
@Francis, agnotologue Prenons acte d’être en désaccord sur la qualification de (...)
06/11 11:46 - Francis, agnotologue
@Eric F ’’je connais aussi des gens pourtant instruits qui (...)
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