@Bernard Mitjavile
l’esclavage a été aboli parce que c’était plus rentable de faire travailler son propre peuple dans les mines et les usines où des enfants de 5 ans servaient de pièces de rechange ou d’asservir en donnant un salaire si minime qu’il n’offrait aucune alternative comme les noirs libérés des états unis... Parer de vertus ce qui pour l’essentiel n’est qu’un transfert d’oppression relève de l’aveuglement volontaire. Et je ne doute pas non plus que Yeshoua soit le nouvel Adam et que l’église soit son Ève comme je ne doute pas non plus que l’arbre de la connaissance reste encore plein de ramure inexploré. De plus je ne doute pas non plus que son fruit ait surement été un produit psychotrope conduisant à d’autres perceptions comme le fait le vin dans certaines conditions d’abus, par exemple voir bouger les vitraux des églises le dimanche quand après une semaine de labeur le manant arrive torché parce qu’il est d’abord passé à la la taverne. Il y a, pas loin de tout ça, un conditionnement au merveilleux qui fait oublier que l’essence terrestre de notre condition empêche de rétablir la justice... Oui la promesse du paradis empêche le plupart des croyants de se juger eux mêmes. Il n’est pas demandé aux êtres humains de percevoir l’essence divine, chose dont ils sont incapable, mais, en premier, lieu de vivre ensemble en paix... Une fois cette étape franchie, alors, peut être, pourront nous parler du divin mais pour que la paix se fasse il faut en premier lieu que la justice s’installe et au regard de ce monde c’est une gageure impossible... Bref Dieu c’est comme les frites Mac-Caïn... !