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Commentaire de Clark Kent

sur À Guangzhou, on pleure quand on meurt, et on rit cantonais


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Clark Kent Clark Kent 14 novembre 2022 17:35

@Olivier Perriet

il se trouve que malgré le vernis glacé et glacial que la nomenklatur chinois a décidé de présenter comme image à l’extérieur, il existe des classes sociales en Chine et celle qui a le pouvoir est composée d’oligarques milliardaires discrets et de bureaucrates issus de l’époque Mao dont il ne reste que l’appareil de contrôle social qui a montré son efficacité mais semble avoir atteint des limites difficiles à franchir
la classe dominante ci-dessus précisée préfère renoncer à certaines ressource plutôt que de risquer une remise en cause de la position de ses membres
Xi Jinping est le symbole même de ce verrouillage puisqu’il est à la fois président de la république à vie (l’état) et secrétaire général du PCC (l’appareil d’état)
l’économie chinoise n’est pas en danger, elle a encore de la marge, et les principaux bénéficiaires de la manne peuvent encore sacrifeir quelques économies pour faire durer
la seule question est de savoir quand ça va péter, c’est comme un film d’Hitchcock : on sait qu’il y a une bombe, mais on ne sait pas où elle est, ni quand elle va exploser, c’est ce qu’il appelait le « suspense ».

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