La théorie du changement anthropique du climat est le support idéal aux financements publics des projets industriels les plus fous. (l’industrie est cause de toute laideur)
En effet, si l’on admettait que les phénomènes climatiques que nous observons sont naturels, jamais personne n’accepterait la mise en œuvre de tels projets.
CQFD
Conseil de lecture :
Mensonge et falsification : La science marchande et
la gangrène de l’humanité, de la vraie fausse pandémie COVID à
l’escroquerie climatique en passant par la philanthropie milliardaire…
tout est à jeter, le plus tôt sera le mieux ! (par les 7 du Québec)
«
Des scientifiques de l’Université de Harvard, ont créé «
l’expérience de perturbation stratosphérique contrôlée » (ScoPEx),
grâce au financement encore assuré par Bill Gates. Cette expérience
tente de réfléchir les rayons du soleil dans l’espace. C’est en
imaginant de telles choses que les « scientifiques » prétendent
contrôler le « réchauffement climatique ». Un journal allemand nous
révèle que les chercheurs de Harvard désirent, quant à eux, répandre
dans l’atmosphère, des particules de carbonate de calcium, ou plus
précisément de l’acide carbonique et qu’ils se livrent déjà à ce genre
d’expérimentation !
Personne ne sait ce que deviendra la couche d’ozone dans ces
conditions. Personne ne sait également les perturbations météorologiques
extrêmes que cela va provoquer. En combinant les initiatives du GIEC et
de Harvard, sans compter les expérimentations faites en grand secret
par le Pentagone, et les opérations désormais abondamment documentées
sur la pratique « discrète », mais non moins réelle, des « chemtrails »,
on peut logiquement s’attendre à de futurs désastres, puisque l’oxygène
dont nous avons grand besoin se fabrique à partir de la photosynthèse
notamment. En « obscurcissant le soleil », que peut-il se passer
objectivement sur Terre ?
De plus, les plantes, des bactéries, des micro éléments du biotope
utilisent la lumière et l’eau comme le dioxyde de carbone pour produire
du glucose et de l’oxygène. En atténuant la lumière du soleil et en
renvoyant le dioxyde de carbone dans la stratosphère, la production
d’oxygène devrait forcément chuter sur Terre. Les scientifiques savent
théoriquement tout cela et pourtant ils courent ce risque. Pourquoi ?
Pourquoi Bill Gates se retrouve encore ici dans le financement de ces
nouvelles initiatives, sachant que la Fondation Bill Gates n’est jamais
déficitaire dans « l’aide » qu’elle accorde à tous ces milieux : santé,
écologie, agriculture, alimentaire… Elle retire toujours des bénéfices
importants de ses actions financières de grande pilleuse d’épaves dans
ces domaines devenus les hauts-lieux de la flibuste… »