• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Francis, agnotologue

sur L'idéologie du genre basée sur l'étude fausse d'un psychologue pédophile néo-zélandais !


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Francis, agnotologue Francis, agnotologue 30 novembre 2022 16:25

 La théorie du genre découle directement des concepts de la génétique néolibérale.

 

 La thérapie génique ou le modèle machine de la biologie, la négation du mystère, le réductionnisme biologique et le scientifique qui a tenté de nous mettre en garde
Thérapie génique
 : Note du traducteur : La « thérapie génique » est le terme qui a remplacé celui d’eugénisme, lequel devait faire peau neuve après la Seconde Guerre mondiale et le Nazisme, mais son idéologie sous-jacente est restée la même.

« Si nous pensons que le monde des organismes est un monde de machines, nous commencerons à nous traiter mutuellement comme des machines. C’est l’énorme danger de tout ce modèle mécaniste des organismes. C’est ce terrible cauchemar qui devient réalité.  » Richard Strohman, Professeur émérite — Source

 
 
La génétique néolibérale : les mythes de la psychologie évolutionniste par Susan McKinnon professeur au département d’anthropologie de l’Université de Virginie.

 « La psychologie évolutionniste (ou évopsy) se veut être la science autoritaire de la « nature humaine ». Ses défenseurs (qui commencent à sévir en France depuis quelques années) ont réussi à construire une tour d’ivoire tout en gagnant une large audience et une influence notable sur les discours publics. Mais quelle réponse propose réellement la psychologie évolutionniste en ce qui concerne le langage, la sexualité ou les relations sociales ? « Aucune… » répond Susan McKinnon.
Rappelons que la psychologie évolutionniste pour objectif de démontrer que l’être humain raisonne en fonction de « modules mentaux » innés, et qu’il existe une seule nature humaine universelle formatant les diverses cultures du monde. Or, le fait de considérer qu’il existe une nature humaine unique (et que la culture soit fabriquées par l’homme) est théoriquement suspicieux, notamment aux yeux des anthropologues (cf. les travaux de Marshall Sahlins, Eduardo Viveiros de Castro, Philippe Descola).
Susan McKinnon démontre que la psychologie évolutionniste est une « pseudo-science » qui transforme la génétique évolutionniste en un mythe sur les origines de l’homme ; plus grave, ce mythe est modelé par des valeurs néo-libérales et repose sur une compréhension ethnocentrique des concepts de genre, de relations sociales, de parenté. Un ouvrage indispensable pour lutter contre certaines idées pseudo-scientifiques qui n’ont aucun fondement anthropologique, mais qui arrivent néanmoins à produire leurs effets néfastes dans les appréhensions du monde et des autres qui sont les nôtres. »
 

 
Voir l’article AV : Sherlock Holmes et l’étrange affaire du genre par bakerstreet  2014

et les commentaires de JL notamment


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès