@alinea
Je pense que si les experts du GIEC détournaient
méthodiquement les travaux scientifiques qui sont d’origines variées sur
lesquels ils s’appuient, il y aurait malgré tout des réactions sur le plan
scientifique qui arriveraient à se faire reconnaître de manière significative. Pour des tas de raisons autre que la vérité scientifique d’ailleurs
et ne relevant pas forcément de la philantropie.Je pense ici que c’est plus facile de garder un secret que de faire une tromperie de grande ampleur.
Je vous poste la réponse faite à l’auteur qui répond
aussi à votre interpellation.
On peut avoir une discussion sans fin sur la part humaine et
son degré sur le réchauffement climatique. Je pense que scientifiquement on ne
peut écarter ces faits et analyses, ni les hypothèses en cours qui contiennent
nécessairement des incertitudes. Je ne pense pas que dans le monde actuel on
puisse à ce point contourner l’ensemble
de la production et du travail scientifique.
Après, de toute façon, il y a bien un réchauffement
climatique en cours préoccupant par rapport auquel il faut bien agir. Auquel s’ajoute
toutes sortes de pollutions (nous avons maintenant la plupart du temps un air médiocre dans nos centres urbains),
trop de recours au plastic qui se retrouve partout, aux pesticides, gaspillage
des ressources minières, de l’eau etc. et c’est là que se nouent les choix politiques
et la manière de les faire, le jeu des intérêts et aussi toute sortes de
propagandes qui visent à les masquer. C’est là que se décide l’avenir. Cette
situation au vu du nombre d’humains, de la puissance de nos technologies régulées
ou non (comment et par qui), de la mondialisation des échanges et déplacements peut devenir très dangereuse.
Je pense que beaucoup d’interpellations minimisant notre
responsabilité vis-à-vis du réchauffement climatique et de l’ensemble de ce qui
va avec, indissociable, une réalité quelqu’en soit les explications, aboutissent à minimiser
ce problème, ses implications sociales et géopolitiques.Et servent en fait les
forces financières et économiques qui font tout pour préserver leurs intérêts
et contrôler les changements en cours qui priment sur l’intérêt général dont
l’analyse a bien du mal à émerger puisque ces forces échappent à un véritable
regard et pouvoir démocratique tout en affichant le contraire.