@Hamed
Ce qui me sidère le plus dans la croyance du musulman n’est pas le contenu du Coran et son acceptation qui est le résultat d’un conditionnement religieux, parfois acquis dans une école coranique, ce n’est pas non plus ce qu’encourt un apostat, pas plus que les houris ces vierge céleste d’une grande beauté que le Coran promet au croyant fidèle dans le paradis d’Allah, manifestement le Coran, comme tous les lignes religieux. a été écrit par des hommes dans un but politique, afin de justifier les guerres de conquêtes qui ont suivi ; ce qui donc me sidère le plus est cette affirmation que le mal a été sciemment créé par (un) dieu afin que le bien puisse avoir un adversaire et en triompher, et que en développant cette idée jusqu’à son paroxysme, si un homme vit dans le mal, c’est la volonté d’Allah et ainsi, depuis son premier jour d’existence, cet homme est voué à l’enfer.
Le mal Hamed n’est pas le contraire du bien parce que ça signifierait que le bien et le mal ne seraient que des notions relatives amenées à se rejoindre et à se mélanger dans une tiède moyenne, ça c’est la morale variable suivant les cultures et les traditions qui justifient les pires horreurs comme la guerre, l’esclavage etc., le mal est l’absence du bien, le bien se retire, s’efface quand le mal s’active.
Les prolégomènes au mal sont un mode de pensée dévoyé, là se trouvent la racine du mal, il se met en place dès les premiers jours de la vie d’un enfant, largement sous l’influence des adultes.