Choisir ce que
l’on veut faire de son économie nationale implique donc d’avoir un réel pouvoir
dessus, ce qui pose déjà simplement la question du pouvoir. Et du rapport entre
démocratie et pouvoir, comme on peut le voir, ces jours ci, au Brésil, tout
juste un an après l’assaut des « trumpistes » sur le Capitole US !
« Bolsonaristes » au Brésil,
« Trumpistes » au « Capitole » des USA : s’agit-il de tentatives
de « Coups d’Etat » ou de Révolutions réellement majoritaires et donc
légitimes ?
Sans parti-pris en
réalité nécessairement arbitraire, vu d’ici, en France, Impossible à déterminer
réellement, compte tenu de l’« équivalence » électorale approximative
des forces en présence…
Bonne réflexion, en
tout cas, et même très utile, quant au fond, ce que n’ont semble-t-il pas
réellement compris les uns comme les autres, « putschistes » ou non.
En réalité, selon une
approche dialectique évidente, le pouvoir n’est pas un lieu, Capitole ou autre,
mais un rapport de forces politiques, reflétant l’évolution consciente d’une
société à un moment donné, et tant qu’il ne s’y produit pas de rupture de
nature qualitative.
Une réflexion sur le
sujet, aujourd’hui :
Le
pouvoir, lieux et leviers
http://cieldefrance.eklablog.com/le-pouvoir-lieux-et-leviers-a213661625
Luniterre