L’immense avantage de la guerre sexiste, est qu’elle est une
guerre civile, capable d’ensanglanter chaque foyer, de déboussoler
un maximum d’enfants et d’en faire un gibier pour marchands de
drogues psychotropes. C’est bien pourquoi elle est subventionnée
par de si saints apôtres que la C.I.A., Rockefeller, György Soros,
etc.
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gloria-steinem-le-feminisme-et-la-185655
repris à
http://debats.caton-censeur.org/index.php/tous-les-articles/feminazies/34-financement-du-feminazisme/155-2016-10-21-05-10-29
Les militantes
féminazies, telles que celle-ci,
ont retenu la moitié « dictature » de la formule
révolutionnaire et messianique « dictature du
prolétariat ». Il leur suffisait de changer la classe
sociale messianique, de se désigner comme la nouvelle et définitive
classe opprimée et messianique et le tour était joué : voici
promue la dictature du Femellariat, comme cache-sexe de la dictature
du grand bankstérisme. Très classiquement, la tactique consiste à
distribuer des privilèges d’abuser à de petits privilégiés,
dont le sadisme individuel camoufle et démultiplie la haute
criminalité. Ici, au Temple de Grande Inexactitude (TGI pour les
intimes), le Féministan judiciaire exécute avec enthousiasme les
crimes que lui dicte le Féministan médiatique. Les accusations
mensongères et les attestations mensongères sont protégées par un
délai de prescription ultra-court, afin de garantir l’impunité
aux criminelles conjurées, et de condamner haut et court les mâles
accusés. Certes, on ne fait pas d’omelettes de pères sans casser
des enfants, autant d’enfants que nécessaire ; il faut savoir
ce que l’on veut, sambregoi !
Une seule guerre
civile ne saurait suffire au grand bankstérisme pour exterminer sept
milliards d’êtres humains, ils ont donc monté bien d’autres
guerres civiles, toutes également montées sur des fraudes
gigantesques, prétextées par la dictature du Pédalariat et du
Gouinariat, la dictature du WWFariat, la dictature du Réchauffariat,
la dictature du Pfizeriat, etc.
En attendant les
suivantes, jusqu’à ce que mort s’ensuive et n’y reveniez plus.