Bonjour,
Vous écrivez : ’’C’est une évidence que les actifs financent par leur travail les retraités et aussi tous ceux qui ne travaillent pas
(ou ne contribuent pas à la création de biens et services). Les
inactifs ne sont pas seulement les retraités et limiter le rapport
actifs/inactifs aux seuls retraités est un non-sens : les inactifs doivent inclure
tous les chômeurs, les fins de droits, les préretraités, les malades et
handicapés dispensés de travail, les personnes ne travaillant pas et
non inscrites au pôle emploi, les étudiants, et tous les enfants de leur naissance jusqu’à leur insertion dans le milieu du travail. Avec cette classification conforme à la réalité le rapport actifs/inactifs devient largement inférieur à 1. L’amélioration de ce rapport est une nécessité : il faut donc qu’il y ait plus de gens qui travaillent.’’
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C’est une évidence et une conclusion archaïques, qui datent d’un temps d’avant notre ère si industrialisée et dématérialisée. Le rapport n’a pas à être amélioré, d’autant que la seule façon que connaissent ceux qui tiennent les ficelles est de faire travailler plus ceux qui déjà n’en peuvent plus, mais de prendre l’argent où il est, à savoir chez ceux qui ne s’en servent que pour en avoir encore plus.
Rappelez vous le Travailler plus pour gagner plus, repris à son compte par Macron.
« L’argent c’est comme la merde ; si on l’entasse c’est une nuisance, il faut le répandre. Et si on le répand, ça fertilise » Francis Bacon juriste du 17è siècle