Bonjour @Rosemar

« En 2021, après la vitesse excessive et l’alcool, les stupéfiants ont été la troisième cause d’accidents mortels. »

La conduite sous influence est toujours un fléau qui expose à la responsabilité de tous les drames, mais pourquoi donc différenciez-vous entre alcool et autres stupéfiants : la seule différence est que si la conduite alcoolisée ou l’ivresse publique sont prohibées, la vente et la consommation d’alcool restent légales et sa disponibilité assurée, ce qui en fait — et pas qu’au volant - le fléau n°1 en France.

J’ajoute qu’il n’y a pas que les drogues « illégales » qui diminuent la vigilance : il en va exactement de même en matière d’anxiolytiques (benzodiazépines), de certaines familles d’anti-douleurs et d’une multitude de d’autres spécialités pharmaceutiques couramment prescrites, comme le mentionnent en petits caractères leurs notices.

« Il serait temps de mener des campagnes actives de prévention et de juguler les trafics de drogue, une économie souterraine qui fait des ravages... »

... ou peut-être - quand après l’échec de la prohibition de l’alcool aux U$A dans l’entre-deux guerres, la politique de stricte prohibition et de pénalisation des stupéfiants est en France et en €urope un échec patent et constant depuis les années ’70 ( soit maintenant plus de cinquante ans) et que faute d’une régulation positive par l’État elle est, sinon des seuls circuits mafieux, totalement hors contrôle - est-il enfin temps de réétudier dans leur ensemble et sans tabou les questions tant de l’accès aux différents stupéfiants que de leur usage en République ???

Je ne prétend pas que cela pourra résoudre l’ensemble du problème et de ses conséquences, mais cela aurait au moins agréablement mérite de nous changer des vaines formules et des vœux pieux qu’on nous ressasse inlassablement et sans autre effet notable,...

... et ce alors même qu’il est de notoriété publique que non content de se poudrer avec régularité, notre très immature et narcissique petit Monarc ne semble plus désormais garder le plein contrôle sur son addiction et ses effets mentaux.

Bien à vous, en vous présentant mes respectueuses salutations !