Commentaire de Jean Rébinaire
sur Vers une dictature féministe ?
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« lorsqu’elles sont reconnues comme telles par les foules sentimentales, les victimes disposent d’un magistère moral du haut duquel elles peuvent accuser, maudire et même haïr librement sans que quiconque ne puisse, en principe, y trouver à redire — tout particulièrement les accusés — car, enfin, ce sont des « victimes » qui parlent. La moindre des choses est bien de les écouter et de les croire sur paroles, ce qui veut dire se dispenser de toute forme de soupçon ou de critique puisque ce serait cautionner les bourreaux, n’est-ce pas ? »
Vraiment bien exprimé, et claire description d’un mécanisme que l’on peut voir à l’oeuvre dans beaucoup de revendications d’un statut de victime. Mécanisme qui gangrène l’évolution nécessaire à la compréhension des interactions humaines. Une espèce de « coupe-circuit ».
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28/02 05:19 - Luc-Laurent Salvador
Vous avez eu un conflit avec votre femme qui n’a pu être réglé. C’est ça le triste (...)
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28/02 04:54 - Luc-Laurent Salvador
@Joséphine Merci pour le compliment. Oui la pensée victimaire fait d’énormes dégâts et (...)
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27/02 14:38 - Joséphine
@Luc-Laurent Salvador Le féminisme est effectivement un dispositif de terrorisme intellectuel (...)
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27/02 14:25 - Joséphine
@Pauline pas Bismutée Je vous ai menacée ? Source ? Je n’ai fait que répondre aux (...)
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27/02 14:24 - rpplbis
Les juges m’ont diffamé, ne croyant que ma femme. Ils ont menti, ne le cachant même pas. (...)
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27/02 05:15 - Luc-Laurent Salvador
Une autre qui souligne l’existence d’un débat sur le distinguo qu’on peut (...)
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