@mmbbb
Rien ne dit que l’histoire en allemagne devait être tragique dans les années 30. L’arrivée d’adolph au pouvoir est du à des coups de poker hasardeux. Le parti communiste allemand était très puissant, et si Hedenburg n’avait pas appelé Hitler au pouvoir, en pensant le controler, l’histoire n’aurait pas été forcément si tragique.
Napoléon, Hitler, Poutine ou Staline sont des hommes qui ont de commun qu’ils sont des dictateurs, et ont piris des décisions irrationnelles, après avoir pris toutese les commandes de l’état. C’est là une caractéristique qui met en difficulté les historiens se rattachant à histoire qui aurait un sens.
Il y a la fois dans l’histoire des causes structurelles, et évenementielles. La découverte du collier de trait pour les chevaux, eut en occident au moyen âge, une importance aussi grande que l’électricité au vingtième. Cette découverte doubla la capacité de traction des chevaux de labour, et les récoltes. L’homme en sortit une plus grande independance alimentaire, et les gains obtenus permirent à ce qu’il se consacre à d’autres occupation et découvertes. Voilà une histoire heureuse, dont personne ne parle, et qui orienta l’histoire de l’occident bien plus puissament que les décisions d’un roi soleil.....
J’ai moi même pensé au début de son avénement que Poutine était un type qui pouvait être une chance pour la Russie. Comme Napoléon, il s’est pris le melon, en envahissant ses voisins, sans raison aucune. Et Beethoven, qui fut un supporter de Napoléon, en mangera son chapeau, et débaptisera sa symphonie « l’empereur »...C’est une vieille histoire, qui se répète. J’ai lu dans le journal « Le monde », un interview d’un homme qui jadis apprécia Poutine. Ce n’est plus le cas maintenant.
"Le
chanteur et musicien Andreï Makarevitch retournera-t-il un jour en
Russie ? Peut-être, « si
le pouvoir change de mains », résume
le leader du groupe culte Machina Vremeni, dont l’aventure musicale
s’étend sur plus d’une cinquantaine d’années.
Andreï
Makarevitch n’est en effet plus le bienvenu dans son pays.
Autrefois proche de Vladimir Poutine, dont il croyait qu’il
mènerait son pays sur la voie de « la
paix et de la liberté »,
il est aujourd’hui déclaré « agent
de l’étranger » par
Moscou. Les concerts de son groupe sont interdits en Russie
« A l’époque Poutine m’ a fait plutôt bonne impression. J’avais une certaine confiance en Elstine, alors je me suis dit que c’était son bébé, sa créature. J’en avais parlé avec lui. Il me paraissait très bien. Et si vous vous souvenez des premières années de Poutine, il prenait la direction de la liberté et de la paix. Et puis il y a eut le Dombass....Toute ma vie, j’ai eu autant d’amis en Russie qu’en Ukraine. C’est le pays le plus proche de nous. On me demande pourquoi j’ai pas réagi pour la Tchétchénie. Je demande pardon aux Tchétchènes, mais psychologiquement, ce n’était pas aussi proche pour moi. Les Ukrainiens sont tellement mélangés avec les Russes. ...Au début, il combattaient les nazis, et puis les fascistes. Et maintenant , c’est des représentants du diable....Aujourd’hui, ils racontent n’importe quoi.... »