@moderatus
C’est drôle parce que vous ne tenez pas compte de la suite de l’article que vous citez !
Il est justement expliqué que cette « raison la plus couramment invoquée » n’est pas la VRAIE raison. 
En réalité tout a été fait pour éviter l’accès à la pleine nationalité.
Vous ne faites que reprendre l’alibi courant.
En Algérie, on avait donc choisi de maintenir à
l’égard des musulmans la procédure la plus difficile, la plus soumise
au contrôle de l’État, celle de la naturalisation .
La
procédure de naturalisation était d’autant plus difficile que
l’administration locale faisait preuve d’une rare bonne volonté.
Jules Ferry, venu à Alger en 1892 à la tête d’une délégation de sept
sénateurs, note : « Les administrateurs sont systématiquement opposés à
la naturalisation. »
Maurice Viollette (1870-1960), , qui écrit en 1931 : « Les naturalisations seraient infiniment plus nombreuses si l’administration les facilitait. »
[...]
De facto, les musulmans d’Algérie
étaient traités comme des ressortissants d’une origine étrangère la plus
indésirable, dont on ne laissait entrer les membres qu’au
compte-goutte.