@Legestr glaz
Ursula von der Leyen, la madone des migrants
Immigration : la France est le pays le plus laxiste en EuropeUne étude de la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol) a comparé les différentes politiques migratoires en œuvre au sein de l’Union européenne. Entre générosité et laxisme, le résultat est accablant pour la Franc
« Le Danemark un exemple à suivre
a placé la barre très haut concernant l’accès à la nationalité.
Chaque fois que vous avez une contravention, votre temps d‘attente pour la naturalisation se double.
Si vous avez une condamnation à une peine de prison, c’est fini pour la vie. »
Danemark : La Fondapol analyse cette nation où la gauche s’est convertie à la maîtrise des flux migratoires. L’immigration a diminué de 28%, les demandes d’asile de 82%
Même constat sur le regroupement familial : en France, il n’existe pas d’âge minimum pour le regroupement des conjoints, ni pour le regroupant ni pour le regroupé, contrairement à l’Autriche, la Belgique, la Lituanie et Malte, où ils doivent avoir au moins 21 ans, ou 24 ans au Danemark. Là aussi, les compétences linguistiques sont soigneusement analysées, l’Allemagne et l’Autriche exigent des regroupés un niveau élémentaire en allemand (niveau A1). La France non
En France, pour une famille de deux ou trois personnes, le demandeur doit justifier d’un revenu correspondant à un smic net mensuel, soit 1353 euros au cours de l’année précédant la demande. Pour une famille de six personnes et plus, le montant demandé est 1602 euros. C’est bien en deçà du minimum requis ailleurs, notamment en Autriche ou en Finlande, où, pour une famille de six enfants, le montant exigé est respectivement 2436 euros et 3100 euros par mois. Au Danemark, les conditions financières sont encore plus drastiques puisque le regroupant doit disposer d’une caution de 14 800 euros, mise à la disposition de la municipalité pour une éventuelle utilisation si le regroupé a besoin de prestations sociales.
Sur les naturalisations accordées sous certaines conditions, le premier critère concerne la durée de résidence minimale. Celle-ci est de dix ans en Autriche, Espagne, Lituanie, Pologne, Slovénie et Italie, de neuf ans au Danemark, de huit ans en Croatie, Estonie, Hongrie, Roumanie, Slovaquie et Allemagne, de sept ans à Chypre et en Grèce.
En France 5 ans
politiques migratoires : la France se révèle plus laxiste que ses voisins.
La Fondation pour l’innovation politique (Fondapol) a analysé les politiques migratoires en vigueur dans les pays membres de l’Union européenne. Et le résultat est sans ambiguïté : sur presque tous les sujets, la France se révèle plus laxiste que ses voisins. Voici le rapport.
https://lalettrepatriote.com/immigration-sur-quasiment-tous-les-aspects-la-france-est-la-plus-laxiste/
Immigration clandestine : l’Italie de Giorgia Meloni défie la Commission européenne
La pétulante Giorgia Meloni prend une tout autre voie, proposant au contraire une loi permettant d’infliger des peines de prison allant jusqu’à trente ans pour les passeurs : « Nous voulons combattre l’esclavage du troisième millénaire incarné par ces organisations criminelles. »
Les gouvernements des pays de Visegrád s’opposent encore et toujours à la relocalisation des réfugiés au sein de l’UE, soutenus par une opinion publique anti-immigration.
- La République tchèque aurait dû relocaliser 2 691 réfugiés depuis la Grèce et l’Italie, elle en a relocalisé 12.
-La Hongrie aurait dû accepter 1 294 personnes, mais le pays n’en a accueilli aucun.
la Pologne, qui était censée accueillir 7 082 personnes, mais qui n’a laissé aucun réfugié franchir ses frontières.
la Slovaquie, le pays a relocalisé 16 personnes – des mères célibataires avec des enfants – alors qu’elle aurait dû accueillir un total de 902 demandeurs d’asile.
-Le gouvernement de Viktor Orbán à Budapest a été encore plus loin, en construisant un mur de barbelés de 175 km de longueur à la frontière avec la Serbie au début de la crise des réfugiés en 2015 puis en organisant (et en remportant) un référendum anti quota en 2016.
Selon un rapport publié par trois centres de recherches européens, il existe actuellement onze murs anti-migrants dans l’Union européenne. à trois endroits, des barrières sont dressées entre deux pays membres.
"Il y a environ 1200km de murs dans l’Union européenne", confirme sur notre antenne Patrick Martin-Genier, spécialiste des questions européennes.
Ces pays, ainsi que la Pologne, la république Tchèque et la Slovaquie, ont confirmé vendredi leur refus des « quotas » défendus par l’Union européenne et l’Allemagne pour répartir l’accueil des réfugiés
01/04 16:44 - moderatus
01/04 15:53 - moderatus
01/04 15:48 - moderatus
@NONOM vous êtes un troll pas drôle. je vous suivrai dans vos autres interventions sur (...)
01/04 12:01 - Lynwec
@Lynwec J’aurais plutôt dû écrire : « partagent quatre lettres communes » ce qui est (...)
01/04 11:59 - Lynwec
@moderatus Mon côté soupçonneux ( que je ne soigne pas ) me signale que NONOM et Nono dégagent (...)
01/04 11:44 - NONOM
@moderatus Je vous prie de respecter la charte et de ne pas m’insulter. Moi, je vous (...)
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