Houlà ! Pierre Perret qui, non content d’avoir eu des sympathies pour les Gilets Jaunes ( le pilori, vite...) ose s’en prendre à des « sommités » responsables (mais jamais coupables, hein...Enfin, pour l’instant... Car ça peut changer...), on comprend l’ire de Rototo qui, au prix d’un louable effort de maîtrise d’eux-mêmes (bah oui, une firme, c’est plusieurs gugusses...) parvient presque jusqu’à la fin de l’article à masquer la colère naissante ...
Comment, comment, cet amuseur public n’a même pas la décence de se taire, lui qui a eu la chance de survivre à la terrifiante « crise sanitaire » (pas injecté, le père Perret ? Ce serait une bonne chose pour lui...) avec ses 166 000 morts (bah oui, en comptant large, on arrive à tout, d’autres avant eux l’ont fait avec un certain brio, l’appel du tiroir-caisse aidant...)
C’est vrai qu’on est plus habitués à la passivité face au pouvoir, voire la complicité de nos « artistes » après le Splendid(e) « vaccinez-vous pour qu’on puisse travailler » qui m’a fait penser qu’il n’y a décidément pas que le père Noël qui soit une ordure ..., alors, un qui sort du rang, ça se remarque...
Promo ou pas, on s’en balance, l’essentiel est dit...