• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Nicole Cheverney

sur Dérèglement climatique, au nom de quelles règles ?


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Nicole Cheverney Nicole Cheverney 29 avril 2023 20:55

@Pie 3,14

Bonsoir,
non, je ne suis pas scientifique mais je suis très cartésienne. J’observe, et je déduis. Pour l’instant le GIEC étale sa science sans faire cas de ceux qui pourraient invalider ses thèses. Car tout le monde aura remarqué qu’une seule thèse est admise,lla sienne alors qu’aucun consensus sur la question n’existe. 
Donc, jusqu’à nouvel ordre, je considère les thèses du GIEC comme insuffisantes pour imposer le green deal. 
Ce n’est pas le climat qui change rapidement, c’est la pollution industrielle qui gagne sur les éco-systèmes. Je rappelle que nous faisons partie des éco-systèmes et que nous sommes très abimés par cette pollution, avec une recrudescence des maladies respiratoires, d’allergies, de cancers, etc. Dues essentiellement à des matières toxiques qu’utilise la grande Industrie jusqu’à l’incorporer dans la nourriture animale et humaine. L’agro-alimentaire tient une part très importante de responsabilité, et d’autres secteurs. L’agriculture intensive qui a remplacé par des méthodes brutales l’agriculture vivrière qui faisait vivre la petite paysannerie et chez qui nous pouvions trouver des produits naturels. 
Lorsque des voyoux en appellent au climat dont nous n’avons aucun pouvoir sur lui, il est difficile de ne pas croire à une politique de protection de gens puissants, trop puissants pour être incriminés. 
Je vous rappelle si vous en aviez entendu parler, l’affaire des boues rouges où un avocat français avait fait condamner dans les années 80, les industriels responsables. (Affaire SEVESO), par un procès qui a pris des années, car en face de lui il avait une véritable armada. Je ne sais pas quel est le but recherché, de désigner le CO2 comme responsable et le climat sa victime, ou plutôt faire semblant de ne rien voir des prédations des multinationales. En attendant le GIEC rumine contre le CO2 et l’effet de serre, en se polarisant uniquement sur des faits naturels et cycliques. J’y reviendrai dans mon prochain article. 
Maintenant, si vous voulez payer une taxe carbone, sur des fondements totalement ineptes, alors payez, libre à vous. Pour l’instant, la taxe votée à l’UE s’élève à 450 Euros par personne et par an, mais demain ? A combien la soit-disant empreinte carbone, que le GIEC amalgame à l’empreinte écologique. Ce qui entre nous relève de la mauvaise foi. 


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès