@Et hop !
Jusqu’en 1914, il y avait au moins 95 % de la population qui était paysanne ou rurale, pratiquant la polyculture vivrière et l’élevage, la population urbaine était marginale.
Jusqu’en 1914 il y avait un citadin pour huit campagnard qui n’étaient pas tous lié à l’agriculture.
La rupture avec le servage date du haut moyen âge mais jusqu’à cette époque le seigneur était un petit roi sur son domaine C’est dans la période entre François 1° et Henri IV que le laboureur a commencé à prendre de l’importance pour rester le seul à vivre de la terre. Laboureur c’est un métier qui permet de racheter les terres de connaitre les faiblesses de chacun d’accumuler du territoire qui bien sur sert à la mono culture d’exportation vers les USA ou la Chine... En parallèle l’éleveur est devenu possesseur d’immeuble de 5 étages, chimistes et manipulateur d’ADN pour pareillement exporter du cochon vers la chine ou du bœuf vers les US. La dépossession des terres et leurs reventes à des grands groupes internationaux liés aux hedge funds est l’étape suivante d’une colonisation économique qui conduit ensuite à celle territoriale comme en Ukraine aujourd’hui. En supposant que l’extrême gauche passe au pouvoir et se mette à nationaliser à tour de bras toutes les entreprises et les terres qui ne payent pas ou peu d’impôts en France dans l’année qui vient la Chine les US et autres menaceront le pays et par l’intermédiaire des médias déstabiliseront la nation, même si les résultats sont bons...surtout si les résultats sont bons.. ; !
Pour connaitre dans le réel la grande difficulté qu’il y a à conduire des projets d’installation de persuader les zélus d’accorder des aides à l’installation ou de tenter de leur faire entendre raison sur la nécessité de redévelopper une agriculture de proximité, j’en suis venu à me dire qu’il serait peut être plus intéressant de faire du porte à porte chez ces néo ruraux urbanisés et de leurs offrir des jardins clés en main ça aiderait peut être à faire bouger ceux pour qui ils votent...
Bref, trois olives un petit oignon un bout de pain et de fromage un ptit coup de pif et c’est parti pour la journée... Bon premier mai !