@Francis, agnotologue
<< ... l’intelligence est de l’ingéniosité, c’est-à-dire la capacité... >>
SVP ne tronquez pas mon commentaire..., il manque en début de citation : << ce que couramment nous appelons... >>
Qu’appelez-vous l’intelligence animale ? Notre intelligence n’est pas animale, nous ne sommes pas des animaux sauf si nous le pensons bien évidemment.
<< ’’l’intelligence s’efface, elle a un côté quasi quantique. ’’
— >
assertion qui me parait contradictoire avec la définition précédente. >>
Il n’y a aucune contradiction dans le sens où un état quantique comme ‘’la manifestation de l’intelligence (ou l’attention)’’ s’effondre quand la pensée revient sur le devant de la scène.
<< Je ne sais pas ce que vous appelez pensée, ou plutôt j’en ai une idée pour avoir déjà lu ce que vous en disiez, sans vous suivre sur ce sujet. >>
Pourtant ça fait maintenant un bail que je tente d’aider à percevoir ce que peut être la pensée : elle est un processus qui se manifeste de façon quasi autonome (mécanique), elle ne fait qu’exprimer, que manifester, le contenu de savoirs mémorisés, en fait de l’information, rien de plus, rien de transcendantal.
Diriez vous que les animaux pensent ? >>
Oui c’est évident, puisqu’il font preuve, à des degrés divers, de savoirs mémorisés, seulement il est probable que leur capacité à manier des abstractions est très limitée, toutefois il y a probablement tout un monde entre les capacités cognitives d’un dauphin, d’un éléphant, d’une pieuvre et celles d’une grenouille ou d’un poisson rouge, toutefois il est possible que nous sous-estimions les performances animales.