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Les mors de la censure se resserrent
Par WD
Pour renforcer les dispositions des DSA et DMA, Thierry Breton, le
commissaire européen au Marché intérieur, à présent grand inquisiteur
d’Europe et accessoirement prédicateur de la 3ème guerre mondiale,
annonce : « Je vais annoncer cette semaine quelles sont ces plateformes
systémiques ». Il a ajouté quelles sont de « 19 et 25 ». Les très
grandes plateformes en ligne, comme Twitter, Facebook ou Amazon, devront
appliquer dès Septembre la nouvelle législation de l’UE entrée en
vigueur en novembre pour éliminer les zones de non-droit sur internet.
Pourquoi attendre Septembre l’application d’un machin décrété 10 mois
avant ? Sont notamment ciblés par les services de la Commission « les
discours haineux, le respect de la vie privée et la désinformation ».
Avec ce dernier terme, nous sommes au cœur du problème, au cœur de
l’objectif.
Sous couvert de protéger les gens du harcèlement en ligne, de toutes
les formes finissant par phobe, l’inquisition vise surtout ce qu’elle
appelle les faiseurs de fake news, les désinformateurs. Pour beaucoup de
gens, ces « infox » sont de la réinformation, de l’acquisition de
connaissance, de l’ouverture d’esprit, un centre de réveil. Les
créateurs de contenus « résistants » sont les antithèses de la pensée
unique.
Si pour le nouveau Robert le Bougre « on sera protégé de beaucoup de
choses dont on se plaint et tout ce qui fait qu’aujourd’hui, dans
l’espace informationnel, on a le sentiment qu’on est dans un espace de
non-droit », nous craignons non sans raison à la fermeture définitive de
la libre expression. Plusieurs ministres, notamment celle de la
Nouvelle-Zélande, de mémoire Jacinda Ardern, nous ont déjà prévenu
qu’ils s’attaqueront à la liberté d’expression, à l’auto-réflexion, à la
libre pensée.
Le monde Orwellien s’impose peu à peu. Après la vague de censure qui
déferla dès 2020, nous allons subir une deuxième encore plus violente.
Que va faire la CEDH contre cette atteinte à la libre expression
garantie par l’Article 19 des droits de l’homme qui stipule : « Tout
individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui
implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions » ?
Nous savons que le CEDH est tenue par les obligés de Soros. En un mot,
l’Open Society Foundations lutte contre toute expression contraire à ses
dogmes. Elle ne fera donc rien contre ces invectives dictatoriales que
sa main gauche profère.
Par la voie officielle, nous apprenons que le règlement DSA (Digital Services Act)
du 19 octobre 2022 donne pour cibles « la haine, la manipulation, la
désinformation, les contrefaçons… ». « Pour mieux protéger les
Européens, il vise à encadrer les activités des plateformes, en
particulier celles des GAFAM ». Pourtant, ces entreprises qui ont le
monopole de l’activité numérique ont bien fait la sale besogne de la
censure tout au long de la crise Covid. Elles continuent d’ailleurs
actuellement son œuvre arbitraire. Pourquoi les mettre sur le grill
comme du temps de la Question ? Ces annonces récurrentes des bonnes
intentions sont pour noyer le poisson, pour enrober la perfidie d’une
couche de sucre. L’objectif est d’invisibiliser les esprits dissidents,
libres par définition, qui contestent preuves à l’appui la doxa
officielle. Grâce à eux, la propagande Covidiste est tombée comme une
bouse sur de l’asphalte. Grâce à eux, la panoplie des piqûres a été
remise dans sa vitrine des poisons au Palais de la découverte. C’est
grâce à tous ces créateurs de contenus taxés de Fake news que moult
personnes se sont réveillées. C’est là le problème, ils ont sorti de la
matrice des milliers de gens, voire des millions. C’est inacceptable
pour les adeptes Davosiens.