« Cependant, les Chrétiens ne sont-ils pas aliénés pour adopter-adorer les livres (non censurés) citant leur Dieu qui, précisément, ordonne de pratiquer ces mêmes abominations ?....« Si un homme couche avec un homme comme on couche avec une femme, ils ont fait tous deux une chose abominable ; ils seront punis de mort : leur sang retombera sur eux. » (Lev. 20:13)
Vous semblez avoir une piètre connaissance de la Bible, vous faites référence à l’Ancienne Alliance (Ancien Testament, c’est-à-dire le judaïsme, puis le coran des musulmans), alors que le Christ est venu annoncer la Nouvelle Alliance (Nouveau Testament) pour faire appliquer la Loi de Dieu selon l’Esprit et non plus selon la lettre comme le préconisait Moïse dans l’Ancien Testament.
»la loi de l’esprit de vie en Jésus Christ m’a affranchi de la loi du péché et de la mort. Car, chose impossible à la loi, parce que la chair la rendait sans force, Dieu a condamné le péché dans la chair, en envoyant, à cause du péché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché, et cela afin que la justice de la loi fût accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l’esprit.«
Romains 8:2-4
»ils dirent à Jésus : Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère. Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes : toi donc, que dis-tu ? Ils disaient cela pour l’éprouver, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus, s’étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre. Comme ils continuaient à l’interroger, il se releva et leur dit : Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle. Et s’étant de nouveau baissé, il écrivait sur la terre. Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience, ils se retirèrent un à un, depuis les plus âgés jusqu’aux derniers ; et Jésus resta seul avec la femme qui était là au milieu. Alors s’étant relevé, et ne voyant plus que la femme, Jésus lui dit : Femme, où sont ceux qui t’accusaient ? Personne ne t’a-t-il condamnée ? Elle répondit : Non, Seigneur. Et Jésus lui dit : Je ne te condamne pas non plus : va, et ne pèche plus. »
Jean 8:5-11