Le juge a haussé les épaules dans ces circonstances. Il a demané un rapport oral à une psychologue. Cette psychologue criait quand je lui parlais, elle me criait dessus devant mes enfants.
Après son rapport oral, il y avait mon ex, son avocate, mon avocat, moi. J’ai demandé si je pouvais dire quelque chose, le juge a dit oui. A l"poque, j’avais la garde, car en non-conciliation, la juge a vu : il ressort du dossier que c’est le père qui prend en charge la vie quotidienne des enfants. Elle m’a laissé la responsabilité des enfants que leur mère refusait de prendre, me traitant de macho.
Le second juge accepte que je dise quelque chose. Je dis : la mère de mes enfants demandent à la justice la garde des filles, mais elle ne veut pas faire plus qu’un weekend sur deux et l amoitié des vacances alors que je le lui propose. Le juge souffle, s’agite sur sa chaise, hausse les épaules.
Le droit de visite était écrit ainsi : large droit de visite à la mère et, en cas de désaccord, les we impairs... etc. DOnc elle pouvait les prendre plus, j’en étais d’accord. ça énerv le petit monsieur qui a un pouvoir absolu.
La thèse qui fonde la décision ets que je veux faire le père et la mère et que c’es tpour ça qu’on ne voit jamais la mère de mes enfants avec ses enfants. Le juge qui a haussé ls épaules a entendu ma question et a validé cette idée que je voulais empêcher la mère de mes enfants de tenir son rôle de mère. Si c’était le cas, je n’aurais pas posé cette question.