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Commentaire de SPQR audacieux complotiste chasseur de complot

sur Surmortalité 2022 : l'Insee montre que les jeunes meurent


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https://www.francesoir.fr/opinions-editos/createurs-de-confiance-et-creatures-de-defiance


Créateurs de confiance et créatures de défiance

D’après Jean Lassalle, Emmanuel Macron et son épouse, la plupart des membres du gouvernement, les principaux perroquets de la majorité, ainsi que de nombreux détracteurs, récriminateurs, grands inquisiteurs des non-vaccinés à la télé et dans les radios collabos... ne seraient eux-mêmes pas vaccinés.

Oui, toutes ces personnalités politiques et médiatiques, qui ont abusé à outrance de formules fallacieuses et mensongères comme “Tous vaccinés, tous protégés”, n’auraient reçu aucune injection dite anti-Covid-19. 

Certains l’ont ouvertement affirmé en public, comme par exemple le “docteur” Martin Blachier, à propos de sa progéniture. D’autres, restés plus discrets sur leur propre cas, ont indiqué en même temps qu’il fallait vacciner les enfants et les femmes enceintes.

Et cela avec une thérapie génique, qui ne faisait l’objet que d’une autorisation temporaire, et pour laquelle aucune étude de génotoxicité, immuno-toxicité et de biodistribution n’était encore rendue disponible. Une recommandation qui a été émise en dépit de tout principe de précaution prévu dans les conventions internationales. 

Pourquoi  ?

Serait-ce pour un but purement financier  ? Il est incontestable que la manne financière phénoménale des contrats des vaccins, plus de 40 milliards d’euros, a dû aiguiser certains appétits. Quelques valises ont-elles transité d’un pays amateur de fromages et de chocolat vers Paris ? Hélas, il ne semble pour le moment n’exister aucun vaccin contre l’amnésie de quelques affaires passées pour nous prémunir de phénomènes de corruption bien réels. 

Serait-ce plutôt basé sur une simple opinion  ? Pour Alain Fischer, “Monsieur vaccin”, il n’y avait “aucune raison de ne pas recevoir” les injections. Les premières victimes des effets secondaires, qui commencent à se piquer de procédures judiciaires partout en Europe, ont depuis trouvé une raison simple : une balance bénéfice-risque gravement défavorable. 

Un risque qu’ils ont été contraints de prendre, du fait d’un pass sanitaire qui leur promettait de retrouver le seul bénéfice... d’une vie normale. Un beau marché de dupe.

Selon les aveux de M. Fisher, le pass sanitaire a représenté “une forme de semi-confinement des non-vaccinés”. Une vaccination obligatoire “déguisée”, en somme, comme a pu le dire l’ancien ministre de la Santé Véran. Pas de place pour le doute, pas de place pour la raison et la dispute scientifique. Pas de place non plus pour des traitements efficaces moins chers et immédiatement mobilisables. Non, il n’y avait pas d’autres alternatives à l’imposition du « tout-vaccin ».

Les récalcitrants ? Il fallait “aller les chercher avec des gendarmes”, en faire “des parias” (Emmanuel Lechypre, présentateur télé). Il fallait leur “rendre la vie très difficile” (Thomas Porcher, économiste). Il fallait les “emmerder” (Emmanuel Macron, ancien élève de cours de théâtre). Il fallait leur “pourrir la vie” (Thierry Moreau, chroniqueur télé). Il fallait les traduire en justice (Benjamin Fellous, avocat et David Smadja, médecin). Il fallait leur “mettre la pression” (Nathalie Elimas, femme politique). Il fallait les accuser d’être immoraux (Claude Malhuret, homme politique). Il fallait “les confiner chez eux” et “les priver de chômage” (Christian Estrosi, amateur de motos). Il fallait remettre en cause leur droit d’être réanimés (André Grimaldi, Professeur). Liste non exhaustive. 


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