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Commentaire de Géronimo howakhan

sur Le Monde est fou, et les écolos sont rois


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Julian Dalrimple-sikes Géronimo howakhan 19 juin 2023 15:47

Salut, pour moi en fait c’est L’Univers, L’Origine, Dieu etc qui siffle la fin de partie..

pour le moment encore de manière indirecte..

Y aura t’il une manière directe là c’est ????

ah !

Oui quelque chose nous guide, quelque chose sait, et le communique de manière indirecte, le processus de la souffrance en est un des éléments.

car C’est un symptôme d’erreur et un catalyseur..

au début ce n’est pas une souffrance et dès l’erreur commise un léger souffle dérangeant le signale...comme on n’écoute pas, ça augmente et cette augmentation peut aller jusqu’à détruire par suicide..

Ah !

Supposons et ?

Seule la souffrance peut et sait résoudre la souffrance..

ah !! euh, ça veut dire quoi ?

A chacun d’aller voir en soi, personne ne peut manger pour un autre..

LA pensée analytique est non seulement hors jeux sauf pour la cuisine, et le jardin, mais crée nos problemes tout en étant vitale sur le plan pratique de la survie..

Ben, on fait quoi ?

Rien, il n’y a pas de « on »...que des « je »>L’Univers..

reste à subir ce que nous avons créé...

A moins que...........

BOSSUET : ( 1627-1704 ! quoi 77 ans !! impossible !!)

"Mais Dieu se rit des prières qu’on lui fait pour détourner les malheurs publics quand on ne s’oppose pas à ce qui se fait pour les attirer. Que dis-je ? Quand on l’approuve et qu’on y souscrit.

Jacques-Bénigne Bossuet

C’est bien peu de chose que l’homme, et tout ce qui a fin est bien peu de chose. Le temps viendra où cet homme qui nous semblait si grand ne sera plus, où il sera comme l’enfant qui est encore à naître, où il ne sera rien. Si longtemps qu’on soit au monde, y serait-on mille ans, il en faut venir là. Il n’y a que le temps de ma vie qui me fait différent de ce qui ne fut jamais : cette différence est bien petite, puisqu’à la fin je serai encore confondu avec ce qui n’est point, et qu’arrivera le jour où il ne paraîtra pas seulement que j’aie été, et où peu m’importera combien de temps j’aie été, puisque je ne serai plus. J’entre dans la vie avec la loi d’en sortir, je viens faire mon personnage, je viens me montrer comme les autres ; après, il faudra disparaître. J’en vois passer devant moi, d’autres me verront passer ; ceux-là mêmes donneront à leurs successeurs le même spectacle ; et tous enfin se viendront confondre dans le néant.
Ma vie est de quatre-vingts ans tout au plus ; prenons-en cent : qu’il y a eu de temps où je n’étais pas ! qu’il y en a où je ne serai point ! et que j’occupe peu de place dans ce grand abîme de temps ! Je ne suis rien ; ce petit intervalle n’est pas capable de me distinguer du néant où il faut que j’aille. Je ne suis venu que pour faire nombre, encore n’avait-on que faire de moi ; et la comédie ne se serait pas moins bien jouée, quand je serais demeuré derrière le théâtre. Ma partie est bien petite en ce monde, et si peu considérable que, quand je regarde de près, il me semble que c’est un songe de me voir ici, et que tout ce que je vois ne sont que de vains simulacres.


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